Plus que du Covid, les gens doivent avoir peur, désormais, de leur gouvernement. La justice et la police, malheureusement, deviennent le bras armé de ce système déviant, à vocation totalitaire, qui ouvertement lutte contre l’homme et non contre un virus. L’incarcération pour violation des règles de confinement n’est pas uniquement théorique : des gens, pour être allé au magasin ou être sorti prendre l’air, doivent passer 2 voire 3 mois en prison. Ils en sortiront brisés. Cette Terreur sanitaire remplit in fine deux objectifs : écraser psychiquement les résistants au nouveau dogme mortifère et faire peur au reste de la population.
L’on aurait pu penser que l’inscription d’un étrange délit de violation des règles confinement avec la mise en place d’un régime liberticide sous excuse sanitaire, au pays de Diderot, du libéralisme, des droits de l’homme, que ces excès normatifs sortis d’esprits malades resteraient lettre morte. Notre culture aurait dû nous sauver de cette barbarie.
Il est triste de constater que la corruption des esprits est encore plus grave que celle des corps à l’heure covidienne, et même les corps de l’État ont sombré, encore une fois, rongés de l’intérieur depuis longtemps, le vernis a craqué, ils se sont effondrés. Il ne reste plus rien de la culture politique française.
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