
Pr Abdeljabbar El Andaloussi, États-Unis : « il faut éviter tout vaccin à base de virus atténué . »
Dans une interview accordée à la radio RMC, le professeur français Axel Kahn avait déclaré récemment que les vaccins chinois contre le Covid-19 étaient les plus en avance dans le monde. En outre, il a affirmé qu’ils sont les plus safe car se basant sur une technologie « old fashion » consistant à utiliser de virus inactivés pour doter le corps de l’immunité qui lui est nécessaire.
Cet avis, qui conforte par ailleurs le choix fait par le Maroc d’opter pour un vaccin chinois, ne semble pas être partagé par tous les scientifiques concernés par cette problématique. Ainsi en est il pour le marocain Abdeljabbar El Andaloussi, professeur chercheur en immunologie et en maladies infectieuses à University of Illinois à Chicago.
Interrogé par le magazine Maroc Hebdo, ce dernier a martelé qu’ »: « il faut éviter tout vaccin à base de virus atténué ».
Au journaliste qui lui demande s’il fait allusion au vaccin chinois de Sinopharm, il répond sans ambiguïté: « oui, tout à fait, je fais allusion au vaccin chinois mais aussi au vaccin de Pfizer, à base de vaccin atténué ».
Détaillant les raisons de sa position, il explique que c’est pour trois raisons majeures: « premièrement, parce que le virus est non immunogène chez l’ensemble des patients atteints, traités et guéris. Deuxièmement, au vu de l’observation de volontaires vaccinés développant les symptômes de la maladie, ce qui veut dire que le vaccin reçu par ces gens a un défaut d’atténuation. Et troisièmement, eu égard à l’origine douteuse du virus, en plus de sa structure très compliquée à comprendre et des homologies de séquence avec d’autres virus, c’est-àdire qui ne s’aligne pas avec les théories de l’évolution des virus selon les experts dans le domaine ».
Alors, faut-il abandonner le vaccin?
Le professeur expatrié suggère de « plutôt donner du temps aux essais cliniques en cours et attendre au moins une année pour le suivi de l’état de santé des volontaires et laisser tomber cette rage de vaccination massive et obligatoire. Les décisions devront être prises sur la base d’observations et de données scientifiques (biologiques) et avec éthique ».
Andaloussi précise à cet égard que ‘aux Etats-Unis, une annonce vient d’être publiée pour recruter des volontaires ayant un état de santé fragile avec le risque d’être affectés par le Covid pour participer à l’étude clinique en cours en leur offrant une allocation de 1.220 dollars . « C’est la preuve qu’on n’est pas encore sortis des études cliniques et que les gens sont hésitants vis-à-vis de la vaccination contre le Covid », insiste le professeur
Source :
https://consonews.ma/23622.html
Autre article du Pr Abdeljabbar Al Andaloussi

Aucun vaccin ne protège du Covid-19
Pour le Pr AbdeljabbarAl Andaloussi, «il ne sert à rien de vacciner» car «aucun vaccin ne protège du covid-19» à l’heure actuelle, remettant en cause les résultats très positifs partagés par les différents laboratoires actifs dans la production d’un vaccin anticovid. «Il n’y a pas de contrôle fiable dans cette expérience. Pour les laboratoires, c’est acquis, alors qu’on ne dispose pas de ces informations», déclare le scientifique qui insiste sur la nécessité de respecter la durée d’une année pour observer l’efficacité ou non d’un vaccin. Pour El Andaloussi, l’efficacité des vaccins actuels est entravée par l’antigène utilisé qui inclut un conflit avec le système immunitaire.
«Aucun vaccin ne protège, car ils sont tous fabriqués avec le même antigène, la protéine Spike, impliquée dans la régulation d’une voie de contrôle de l’inflammation. L’antigène utilisé pour vacciner et développer cette protection n’est pas le bon antigène. Aucune loi dans la nature ou dans la discipline d’immunologie ne conseille d’utiliser une voie de signalisation d’inflammation comme une voie cible pour induire l’immunité acquise», affirme le chercheur.
Si le vaccin ne protège pas, c’est également parce que le virus du SARS-CoV-2 n’est pas immunogène, selon lui. «On a analysé des échantillons de patients atteints du virus et qui ont guéri. Tout ce qu’on voyait dans leurs corps, ce sont des anticorps neutralisants qui ne protègent pas. Pour avoir une protection par un vaccin, il faut développer une immunité acquise qu’on ne peut pas réduire à des anticorps neutralisants».
«Les gens se sont concentrés sur l’idée d’immunité de groupe sans prendre en considération les avis contradictoires. On a manipulé l’opinion publique avec cette idée de protection de groupe, c’est-à-dire que vous allez vous faire vacciner, mais vous ne serez pas protégé tant que 80% de la population n’est pas vaccinée. Cela met en doute la protection individuelle», poursuit-il.
Le vaccin, « source de contamination »
D’autant plus que pour El Andaloussi, le vaccin d’AstraZeneca, qui sert à vacciner la majorité des Marocains, serait contaminant. «Les personnes vaccinées par les vaccins classiques vont devenir des sources de contamination parce que le vaccin reçu est à base du virus atténué. Si le virus est inactivé dans le vaccin, il est impossible qu’il soit détecté par PCR chez le vacciné. Or, des personnes, qui ont développé des symptômes avec AstraZeneca à la deuxième dose, ont été testés positifs. Ils sont donc porteurs d’un virus atténué», théorise-t-il.
Il relève qu’au Maroc, le personnel des services de réanimation a noté dernièrement une augmentation du nombre de personnes admises dont la tranche d’âge est de 35-55 ans. «La cible prioritaire de la campagne de vaccination était les personnes âgées, donc d’où viennent ces patients? Ils ont été contaminés par les gens vaccinés par AstraZeneca», répond-il.
Autre thèse singulière soutenue par l’expert: «Le Maroc a triché dans l’étude clinique». «Dans le covid-19, il y a plusieurs copies du virus: celle de Wuhan, celle de Pékin, et celle de Sinovac. Il s’est avéré que le Maroc a utilisé pour l’étude clinique le vaccin à base du virus de Wuhan. Plus tard, Sinopharm a été importé pour vacciner les Marocains sauf que ce vaccin est basé sur une copie du virus de Pékin. On est en train de vacciner les Marocains à base d’un virus qui n’est pas celui avec lequel ils ont été contaminés à la base. Ce n’est pas le même virus qu’on avait utilisé dans l’étude clinique qui sert à déterminer les risques et les dangers du vaccin sur les citoyens, donc il n’y a pas de lien entre l’étude clinique et la vaccination», argue-t-il.
Pour toutes ces raisons, «il ne faut pas vacciner les gens au Maroc, il faut tout arrêter, ne pas donner la deuxième dose d’AstraZeneca car ça ne changera rien, ça réduira les risques». El Andaloussi «demande le départ du comité scientifique actuel sur la vaccination» et souhaite «la formation d’un nouveau comité où seront représentées les différentes parties de la société marocaine qui sont impliquées dans la gestion de cette pandémie». Et de soumettre: «Il faut revoir toutes les étapes, les décisions prises, les données, analyser le tout et conclure un plan d’action qui continuera à développer les vaccins et les autres traitements comme l’immunothérapie. Moi, je ne ferme pas la porte à la recherche scientifique ou au vaccin, mais je ne brulerai pas les étapes, ni violerai l’éthique. Je n’officialiserai les vaccins qu’au terme de toutes les étapes, afin qu’ils répondent à tous les critères de sélection»
Source :
https://www.h24info.ma/maroc/pr-abdeljabar-el-andaloussi-aucun-vaccin-ne-protege-du-covid-19/

Pr Laurent Mucchielli : « Une mortalité inédite : il y a urgence à suspendre la vaccination »
Nouveau debriefing avec le sociologue et directeur de recherche au CNRS Laurent Mucchielli, pour un article important qu’il vient juste de publier sur son blog au sujet de la vaccination Covid. « Une mortalité inédite » titre-t-il.
À écouter sans tarder, un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :
https://videas.fr/embed/5fbb85fb-c6d4-46ac-b68d-ca4388cf21e7/
Source :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/laurent-mucchielli-alerte
Dr Carrie Madej : Les « vaccins » Covid redéfinissent l’Humanité en Cyborg Human 2.0
À lire ici :
Ano Turtiainen, membre du Parlement finlandais, avertit le gouvernement qu’il est coupable de génocide pour avoir induit le public en erreur sur les injections COVID-19

À lire ici :
Mais du coup… si les vaccins sont des virus atténués, ça ne joue par sur l’inflammation, avec la protéine spike et compagnie ! (Plus, la preuve que tout ceci est une connerie : cet « expert » ne sait même pas que le vaccin pfizer est un vaccin à arn messager, pas un vaccin atténué). Bref, toujours de faux experts, de fausses infos. Si encore l’expert sortait des études sur l’efficacité de l’ivermectine sur les vaccins type zyka et covid pour justifier l’inutilité du vaccin… Mais non ! Ahlala. Et dire que je lis ça moi….
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