
Depuis que la pandémie de COVID-19 a entraîné une psychose dans les pays développés, des « vaccins » ont été mis au point en un temps record avec un seul mot d’ordre : la vaccination pour toutes et tous, dès 5 ans, coûte que coûte. Toutefois, les « vaccins » révolutionnaires qui nous sont proposés puis imposés ne sont pas sans risques. Les données de pharmacovigilance qui remontent très timidement sont déjà catastrophiques et laissent craindre le pire poussant de plus en plus de scientifiques et médecins à demander l’arrêt immédiat de la « vaccination », notamment chez les personnes jeunes et en bonne santé.
Avertissement : nos recherches montrent que la mésinformation ou désinformation est très importante, autant du côté des « pro-vaccins » que des « anti-vaccins » COVID.
Suite à la pandémie de COVID-19, les pays développés ont adopté une curieuse stratégie sanitaire : plutôt que de soigner rapidement les malades avec des traitements qui font leurs preuves (Ivermectine, Azythromicine…) – comme en témoignent le Brésil, l’Inde, le Japon et de nombreux pays africains – et qui sont utilisés depuis des décennies sans contre-indication, ils ont accepté, dans l’urgence des soit-disant « vaccins ».
Et pourtant, en plus de 40 ans de recherches, aucun vaccin n’avait jamais été mis au point contre les coronavirus… Jusqu’à ce jour ?
L’ivermectine est maintenant utilisé comme traitement anti-COVID par 28 % de la population mondiale.null▴ Publi-reportage ▴
En temps normal, il faut environ 8 à 12 ans pour qu’un vaccin soit autorisé mais l’urgence de la pandémie et le nombre soi-disant « catastrophique » de morts a incité les gouvernements à accepter des autorisations temporaires de mise sur le marché, sans aucun recul sur les conséquences sanitaires d’une telle décision.
« Cette précipitation a généré une série de problèmes potentiels, comme l’impossibilité de connaître les événements indésirables à moyen et long terme, qui se confirment en pratique jour après jour, sans parler du silence gênant et même l’interdiction, dû à la censure des grands médias et réseaux sociaux et même de l’OMS elle-même, concernant les propositions de traitements pour cette nouvelle maladie en utilisant des médicaments sûrs et établis pour maladies virales et thromboemboliques similaires. » (déclaration de 300 médecins brésiliens du 20 juillet 2021)
La pandémie de COVID-19 aurait[1] tué environ 3,5 millions de personnes en 2021 (Worldometers), à comparer aux quelque 40 millions de morts évitables par an mais qui n’intéressent guère et aux 83 millions de personnes en plus sur Terre chaque année…
En France, l’âge médian des décès à cause de la COVID est de 73 ans ; 88% des personnes décédées avaient une comorbidité et la moitié des morts étaient en EHPAD – Santé Publique France, mars 2020 à mars 2021)
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Dans les pays occidentaux, cette stratégie est avant tout politique et financière (la vente des « vaccins » rapporte beaucoup d’argent notamment à Pfizer dont les revenus ont bondi de 92 %) puisque le débat scientifique et médical est muselé et les traitements précoces ont rapidement été interdits.
Les messages abrutissants, terrorisants puis les mesures liberticides fonctionnent bien : 56,7 % de la population mondiale est maintenant vaccinée et 8,67 milliards de doses de « vaccins » ont été injectées (Our world in Data, 12/2021) dans ce qui est dorénavant la plus grande expérience médicale de l’histoire de l’humanité.
Les conséquences, minimisées, étouffées, ridiculisées et balayées par trop de politiques et la plupart des journalistes, sont pourtant du jamais vu dans l’histoire des médicaments.
Aujourd’hui, aux Etats-Unis et en Europe, 3 vaccins sont principalement administrés :
- COMIRNATY (BioNTech et Pfizer) – Vaccin à ARNm
- COVID-19 VACCINE MODERNA – Vaccin à ARNm[2]
- VAXZEVRIA (ASTRAZENECA) – Vaccin à vecteur viral
Ces deux premiers « vaccins » – les plus administrés dans les pays occidentaux – ne sont pas des vaccins traditionnels, c’est-à-dire avec des virus atténués ou inactifs : ils se basent sur l’ARNm (ARN messager), une révolution médicale qui aurait mérité plus d’études, de précaution et de temps avant d’être massivement utilisée sur la population. En effet, ces « vaccins » sont administrés au plus grand nombre possible alors qu’ils sont encore en phase de test pour au moins 2 ans. Suite de l’article :
Source :
https://www.notre-planete.info/actualites/4849-vaccins-COVID-19-risques-morts