
par Liliane Held-Khawam.
• https://www.24heures.ch/les-ecoliers-vaudois-masques-des-8-ans
« Un million de morts du covid dans le monde en 2020, 50 millions de morts de la grippe de 18. Sachant que la population mondiale a passé de 1 milliard 8 environ en 1918 à 7 milliards 7 environ en 2020, soit plus de quatre fois plus, il faudrait rapporter les chiffres aux proportions. C’est donc comme si le covid avait fait moins de 250 000 morts dans le monde de 1918 ou la grippe de 18 plus de 200 millions de morts en 2020. Toute mort est assurément une mort de trop, mais l’immortalité n’existe pas.
Faut-il vraiment arrêter de vivre en 2020 à cause de la pandémie ? Faut-il vraiment punir les jeunes pour protéger les « vieux » à cause de la pandémie ? Faut-il vraiment cloîtrer les personnes dans certains EMS pour les empêcher de mourir ? Faut-il vraiment faire crever de faim des populations pour leur éviter d’être éventuellement malades ? Faut-il vraiment détruire l’économie et tous ceux qu’elle fait vivre pour éviter la mort de quelques-uns ? »
• https://blogs.letemps.ch/suzette-sandoz/2020/09/28/et-si-on-nous-disait-la-verite
2022, rien ne change et la question doit être répétée : faut-il arrêter de vivre en 2022 à cause de la même pandémie ?
Oui disent les autorités. Il faut empêcher les gens de vivre. À l’heure actuelle, des patients décèdent parce que ne sont pas pris en charge. Des opérations sont déprogrammées, ami lecteur. Une honte absolue ! Ceci est très simplement de la non assistance en danger ! Et cela fait 2 ans que la chose se représente inlassablement avec un cynisme digne des personnalités les plus perverses.
Bref, on laisse mourir les gens à cause d’une pandémie qui a occupé en 2020 2% des capacités hospitalières! Les mots manquent pour fustiger ce qu’il faudra qualifier très lourdement bientôt !
Et ce n’est pas tout. Les effets collatéraux sont dramatiques. Le nombre de faillites explose !
• https://www.lfm.ch/forte-hausse-du-nombre-de-faillites-en-2021
Les gens sont enfermés chez eux alors qu’ils ne sont ni malades, ni même positifs au test PCR si contesté que certains pays auraient abandonné. Le tort de ces personnes est qu’ils sont des « cas contact ». Du coup, ils attendent qu’on les informe de l’heure de leur libération. Deux personnes m’ont dit ces dernières 24 heures qu’elles ne savaient pas jusqu’à quand elles étaient en quarantaine. Imaginez que vous soyez libéré et que vous redeveniez cas contact une nouvelle fois. Vous y pensez forcément. Du coup, vous aurez peur de rencontrer du monde et vous aurez tendance à vous replier non ?
Les conséquences en termes d’anxiété et d’angoisses sont inévitables. On fabrique de toutes pièces des malades mentaux. Comportement détestable de la part des « autorités » sanitaires, car volontairement déstabilisant.
Pendant ce temps, une conseillère d’État vaudoise testée positive et présentant les symptômes du Covid a été vue dans un restaurant de montagne sans masque, alors qu’elle pouvait vraiment contaminer son entourage ! Quelle a été la sanction ? En revanche, si ça avait été l’agriculteur du coin, il aurait probablement écopé d’une peine pénale pour mise en danger d’autrui, non ?
Autre question. Comment justifier le port du masque que ces personnes de l’élite imposent, même aux aux enfants malgré les conséquences désastreuses, mais n’estiment pas nécessaires de suivre les directives qu’elles cosignent. Pourquoi ? Parce qu’elles ne croient tout simplement pas à la pandémie (même si je suis sûre que ce virus probablement fabriqué en laboratoire peut être une grande saleté pour un petit nombre). Pensez-vous que madame la conseillère d’État aurait courbé les directives s’il s’agissait de peste, de lèpre, ou de choléra ? Non bien sûr.
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