Nos libertés ont été sournoisement confisquées par des situations d’urgence provoquées : (fausse) pandémie covidique, crise économique provoquée, guerre mondiale contre le soi-disant terrorisme et maintenant le conflit Russie-Ukraine. C’est ce qu’explique l’article ci-dessous dont extrait :
« Les libertés, premières victimes expiatoires de la psychologie des foules
Dans toute situation d’urgence la première victime ce sont les libertés : le réflexe est bien connu, et toujours employé par tous les régimes avec l’assentiment, voire l’appui, des populations administrées. C’est une première constante qui ne s’est jamais démentie au fil des épreuves passées et présentes. Comme si les libertés étaient, plus encore que la variable d’ajustement, la cause de tous les malheurs de ce monde. Cela révèle en sus la profondeur des convictions libérales des dirigeants occidentaux actuels. L’autre constante est la suspension souvent pérenne desdites libertés. Une fois la victoire obtenue (et l’on sait que celle-ci est souvent différée à dessein), les libertés sont rarement rendues ou si tel est le cas, elles sont d’office placées sous tutelle (administrative et/ou technologique). Comme si les libertés étaient l’arme de l’ennemi alors qu’elles sont précisément le révélateur de qui est notre ennemi. » Lire plus :
https://dzmewordpress.wordpress.com/2021/12/21/psychologie-des-foules-le-desir-de-croire-plutot-que-de-savoir/