Mot à dire
Il faut savoir que l’acte sexuel sans le milieu juif orthodoxe est un acte que relève du devin.
En effet, je cite, « la doctrine kabbalistique juive considère que l’union entre deux êtres est la symbolique de l’union avec leur divinité(laquelle ? YHWH,Yahvé, Hashem,Elohim,Adonai? ).Du moment que la pédophilie est permise par le Talmud ,pourquoi s’en priveraient-ils ? N’est-ce-pas une autre forme d’union divine plus pure ?
–Sanhedrin 54b : « Si un homme commet la sodomie avec un garçon de moins de neuf ans, ils ne sont pas coupables de la sodomie. »
-Sanhedrin 55b : « Il est autorisé d’avoir des rapports sexuels avec une fille de trois ans et un jour. »
Ce n’est pas un hasard si les pédophile juifs, poursuivis dans d’autres pays, fuient sous le couvert « d’alyah » vers Israël.
Ahmed Miloud
*****
Après le scandale, le suicide fin décembre du « rabbin star » Chaïm Walder, accusé de dizaines de viols, provoque un véritable électrochoc. Peu à peu la parole se libère et brise l’omerta qui fait loi dans le milieu juif ultra-orthodoxe.
Le geste funeste. Le scandale énorme. La parole libérée. Dans la nuit du 27 décembre 2021, Chaïm Walder se suicide d’une balle sur la tombe de son fils. Le rabbin israélien, accusé de dizaines de viols qui remonteraient jusqu’au milieu des années 1990, laisse une dernière lettre. Il nie les faits et donne rendez-vous à ses accusateurs «devant le Tribunal d’En Haut». Privant ainsi ses victimes présumées d’une justice devant les tribunaux d’ici-bas.

Chaïm Walder s’est donné la mort le 27 décembre 2021, en laissant une lettre dans laquelle il nie toutes les accusations de viols, et d’agressions sexuelles portées contre lui. ©DR
En Israël, les juifs ultra-orthodoxes sont secoués par une affaire dont l’ampleur doit beaucoup à la personnalité du suspect. Chaïm Walder, 53 ans, était précisément la voix des enfants dans le milieu haredi («craignant-Dieu», le nom hébreu des ultra-orthodoxes). Auteur de livres pour enfants, il avait fondé le centre pour l’enfant et la famille de Bnei Brak, une ville ultra-religieuse à côté de Tel-Aviv. Il avait aussi reçu la médaille des «Protecteurs des enfants» décernée par le cabinet du premier ministre pour l’ensemble de son action. Dans son bureau convergeaient en toute confiance couples en difficulté, adolescents en crise et enfants turbulents.
«Chaïm Walder, le héros de mon enfance»

Chaïm Walder a écrit de nombreux ouvrages destinés aux enfants.
©DR
«Cette situation est tragique, car Chaïm Walder est le rabbin qui, grâce à ses livres, a fait entrer dans le monde juif très religieux l’idée qu’il est nécessaire d’écouter les enfants. C’est lui qui a introduit les premières bribes de psychologie dans un monde hermétique aux influences extérieures», décrypte Noémie Issan, une doctorante en sciences religieuses qui vit à Jérusalem.
«Chaïm Walder était le héros de mon enfance. J’ai moi-même été victime d’abus sexuels et j’ai grandi en lisant ses livres, qui m’ont donné la force de parler et de partir», confirme Noga Tal, 33 ans, qui a fui le monde ultra-orthodoxe à l’âge de 19 ans. Aujourd’hui, la musicienne vit avec une femme et milite dans une association de «sortants», pour aider ces ex-religieux à s’intégrer dans le monde laïc.
Suite de l’article :