Sionisme dans l’Histoire Marocaine

Mon grain de sel

Cet article traite de la main-mise des juifs sionistes sur le royaume du Maroc. C’est un témoignage historique d’un membre de la famille juive Corcos qui a fui l’Espagne vers le Maroc en 1492.

Ahmed Miloud

Extrait de l’article :

Le premier bien connu descendant de Joshua Corcos était le fils de Yehuda (d. à Tetuan 1662) Mas’oud-Joshua (d. à Safi 1757). Il était un commentateur Talmud, conseiller financier et un banquier de la cour pour le Sultan Moulay Ismail, un des plus importants Sultans Marocains. Par la demande du sultan, il est parti à Marrakech ou la famille a joué un rôle important dans la communauté et l’économie de la ville. L’arrière petit fils de Mas’oud, était un grand et riche marchant et le chef du Marrakech Judaïsme. (d. à Marrakech 1881).Un membre proéminent de cette branche était Joshua Corcos (1832-1929) qui a suivi la voie de son père dans le « leadership » juif de Marrakech. Comme lui, il était aussi un banquier couronné de succès et un conseiller financier du dernier grand sultan du Maroc avant la période du protectorat française. Moulay Hassan à fait tout qu’il a pu pour maintenir l’indépendance financière du Maroc, au contraire de son fils qui a ouvert le pas sur l’Europe. De cette façon, la tradition des juifs comme conseillers financiers a été écourté. Joshua bénéficiait de la protection des trois sultans : Moulay Hassan I, Moulay Abdel-Aziz et Moulay Hafid, et il a établi un lien avec la famille Glaoui qui avait du pouvoir et de l’influence dans la région de Marrakech et il est devenu leur conseiller financier. Notre addition:When Thami el Glaoui died in 1956 he left bank accounts in Geneva, Paris & London. Ref: Time Magazine

Joshua Corcoc était une personnalité remarquable, surnommé « le millionnaire du Mellach », car il aidait financièrement la communauté. Il a maintenu une « attire » modeste. Il était aimé et estimé par les juifs et les musulmans. Et au jour de ses funérailles en 1929, toute activité à Marrakech était interrompu et des milliers ont assisté au funérailles. Une rue à Marrakech porte le nom de la famille Corcos, comme appréciation de ses contributions pour la ville pendant plusieurs générations. Son fils Mordecai Corcos (Marrakech, 1885-1944) a hérité son rôle comme président de la communauté et chef des affaires de la famille de 1930 jusqu’à 1938. Mais il manquait la personnalité et l’énergie de son père. Sa fille Freha Corcos (Marrakech, 1889-1974) est mariée avec Abraham Meyer Corcos (Marrakech, 1880-1961), qui appartenait à la branche Castiliene de la famille. Un de ses enfants est Maurice Meyer (Marrakech, 1916) il était active dans les affaires locale de la communauté juive et un Mohel très connu. Il s’est marié avec une cousine, Lina Corcos (Mogador, 1922), un des membres de la famille dans cette ville. Un autre fils de Mas’oud Joshua, Judah Corcos (d. 1753 à Safi) a continué comme conseiller financier pour le sultan et était aussi le chef de la communauté juive à Marrakech et il était très connu de sa générosité envers la communauté. Le fils de Judah, Abraham (Marrakech, 1730-Mogador, 1797) était aussi un chef de la communauté et un fondateur de Yeshivoth, et a servi aussi comme conseiller financier pour le sultan Moulay Mohamed Ben Abdullah. Il s’est marié avec sa cousine Reina Sumbal, la sœur de Samuel qui était également le conseiller du sultan et son interprète. La plupart des descendants de cette branche ont émigré en France ou ils vivent encore. A la demande du sultan, Abraham a nommé un de ses neveux, Maimon Ben Yitzchack Corcos (d. à Mogador, 1799) pour représenter la famille au nouveau port à Mogador (Essaouira). Il est arrivé au port avec dix autres familles marchants qui ont été choisis par le sultan, la plupart sont des Juifs. La décision du sultan avait une grande influence dans l’histoire du Maroc envers la communauté juive ainsi que la famille Corcos. Et depuis l’ère « des marchants du sultan », (Tajjar Al-Sultan), la famille Corcos a vécu dans cette ville. Cette désignation a été donné par les sultans depuis le 16ème siècle à un petit groupe de marchants sélectionné : musulmans, chrétiens et spécialement juifs, avec l’idée d’équilibrer l’influence Européenne dans l’économie Marocaine. Les marchants du roi ont travaillé comme des marchants indépendants et en même temps comme des agents commerciaux pour les chefs d’état et ont géré les affaires fiscales mondialement. En contrepoids ils ont reçu une grande portée de privilèges comme avoir facilement des prêts et des maisons, des bureaux et magasins dans les districts gouvernementaux et ils ont graduellement devenu indispensable envers le gouvernement. Maimon Corcos est mort en 1799 par l’épidémie de typhus à la ville et il n’a pas laissé de descendants.

Son cousin Salomon Corcos, le fils d’Abraham Corcos (Marrakech, 1730 – Mogador, 1797) est parti à Mogador à la demande du sultan. En 1823 Salomon Corcos était nommé Consul Britannique à Marrakech et plus tard à Mogador. Donc il a commencé la tradition familiale en représentant les grandes nations. Il a commencé la tradition de la famille et il a représenté les grandes nations. Sa relation très proche avec le sultan Moulay Abdarraham Hisham est illustrée dans un nombre de lettres trouvées dans les archives familiale, entre des centaines de documents préservés par la famille Corcos par plusieurs générations. Elles reliaient surtout a la relation Corcos avec la cour et les relations juive-musulmane entre le 18ème et en 19ème siècles.

Ses archives sont d’un héritage familiale précieux et aussi une source de valeur historique sur le Judaïsme à Mogador. A notre regret, la plus ancienne partie de ces archives était détruite durant le « London blitz » dans la seconde guerre mondiale, après avoir été préservée pour les recherches. L’institut « Ben Zvi Institute », (Jérusalem) a publié « Research Monographs » par Michel Abitbol, basé sur ces archives : « The Corcos Family and Contemporay Moroccan history » et « The Sultan`s Merchants and Economic Development in Morocco ». Mon père, David Corcos qui a hérité cette collection a fait de ces archives son premier projet de recherche.

Salomon Corcos est arrivé à Mogador en 1845 et a rejoint son fils Abraham après avoir laissé les affaires à Marrakech pour son fils aîné Jacob Corcos (1813-1878). L’autorisation du sultan a été trouvé dans un document daté du 4/7/1854, qui existe dans les archives familiale. Notre addition: Sultan Abderrahman a confié à Salomon Corcos en Février 11/1846 une très importante somme d’argent pour être investi dans les terres chrétiennes. Ref: David Corcos; « Studies in the History of the Jews of Morocco, page 47 ». Les affaires de la famille ont prospéré avec le succès du nouveau port de Mogador, largement du à des activités des marchants du sultan. Les plus jeunes frères : Abraham et Jacob Corcos, étaient envoyés par leur père en Angleterre pour recevoir une bonne éducation pour devenir capable de bien maintenir les affaires de la famille qui s’élargient sur niveau international.

Un autre sujet sur le web parle d’un cadeau, une fille esclave donnée par El-Glaoui au roi Mohamed V. Selon l’histoire, le roi n’avait aucune idée que la fille qu’il venait de recevoir était déjà enceinte du futur roi Hassan II. En plus, il est mentionné que le père réel du Hassan II est Touhami Al Glaoui, un Berbère du Sud du Maroc, et que sa mère réelle est une descendante Judeo-Berbère. Glaoui était connu comme collaborateur des Français toujours en soignant précieusement ses propres ambitions politiques.
Cf: Dar El Glaoui; El Glaoui : The pasha of Marrakesh. Time Magazine. Monday, September 5, 1955; Revolt & Revenge & Time Magazine. Monday, May 20, 1957 ; Who Is Boss ? Ref. voir no. 1.

Suite ici :

http://www.sharifian-history.info/Francais.html

Article sur le même sujet

http://infomondedz.canalblog.com/archives/2022/09/11/39625940.html

Voir vidéo sur le témoignage de Gérard Fauré

Gérard Fauré est né en 1946 à Fès au Maroc  (alors protectorat de la France et de l’Espagne). Dans son premier livre (Fatale confiance : la vérité sur la mort de Mohammed V) et les médias, il affirme que son père, Jean Fauré, « médecin militaire», avait également été médecin, confident et homme de confiance du roi Mohammed V», « expert auprès de l’Organisation mondiale de la santé et, à un moment, sous-directeur de l’OMS».

De surcroît, victime de chantage et mis sous pression, Jean Fauré avait été amené contre son gré à collaborer indirectement à la fomentation d’un assassinat politique visant le roi Mohammed V du Maroc « à la demande d’Hassan II».
Gérard Fauré affirme par ailleurs que le Roi Hassen II est le fils du Bacha Touhami Glaoui et non du roi Mohamed V.

La mère de Gérard — berbère, ex-« membre de la tribu des Aït Baha» surnommée « les pirates du désert» — a un caractère bien trempé et plutôt rude. L’auteur relate en outre une relation amoureuse avec Fatéma Oufkir, veuve du général Mohamed Oufkir.
(Wikipédia)

Publié par ahmedmiloud

Retraité aime internet,débats,culture."La religion agréée par Allah,Le Dieu Unique, est l'Islam". Tout d'abord bienvenue sur mon blog. Vous y trouverez différents sujets qui pourraient vous intéresser, des réponses à certaines questions existentielles et surtout certaines choses qu'on essaie de vous cacher . Osez crier votre vérité même si elle blesse et ne courbez pas l'échine devant l'adversité. Ma devise : "Le mensonge finit toujours par se briser sur le mur de la vérité."(Ahmed Miloud)

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