
Mot à dire :
Depuis l’apparition de ce virus douteux appelé Covid-19 et les vaccins qui vont avec, des médecins et chercheurs renommés n’ont cessé de dénoncer cette supercherie qui a ébranlé la politique sanitaire et économique de la majorité des pays. Cette supercherie vient d’être mise à nu par la firme Pfizer elle-même comme le montre l’article ci-dessous.
Sébastien Renault, par exemple, dit que « dans la religion sanitaire du covidisme, la Science tient lieu d’ultime déité et l’industrie pharmaceutique d’église universelle. À la tête de cette église, Fauci assume la fonction pontificale (jouissant d’une infaillibilité dont nul ne saurait douter, sous peine d’anathème), assisté des médecins tenant lieu de nouveau clergé – prêtres covidistes offrant le sacrifice des victimes qu’on ne soigne plus depuis l’instauration de cette nouvelle religion ; ou encore celui des enfants en parfaite santé et n’encourant aucun risque, inoculés sur l’autel de la « sainte » peur d’un virus dont le taux de survie est supérieur à celui de la grippe saisonnière…

Au centre du culte sanitaire sacrificiel de cette nouvelle église, le « vaccin » à ARN messager tient lieu de sacrement, gage de l’ultime salut (ne pas être infecté par le SRAS-CoV-2). Religion collectiviste de la soumission au contrôle social hygiéniste, le covidisme missionnaire prêche par-dessus tout l’altruisme « vaccinal » du signalement social vertueux, pour faire en sorte que soit réalisé le plus grand de ses commandements : « Tu ne contamineras pas autrui du SRAS-CoV-2 ! » – commandement d’application strictement rigoureuse et exclusive à ce virus particulier, auquel échappent donc les autres virus bien connus, tels que le VIH-1. »
Ahmed Miloud

Albert Bourla va peut-être bien regretter de ne pas être venu en personne témoigner devant la Commission Covid-19 du Parlement Européen au vu de ce qui pourrait être, pour Pfizer, une véritable bourde de Janine Small, présidente des marchés de développement international de Pfizer.
Janine Small, au nom du directeur général de Pfizer, le Dr Albert Bourla, a témoigné lundi devant cette commission qui avait convoqué en premier son patron qui a préféré ne pas se présenter.
Au cours du débat avec les députés, le Néerlandais Rob Roos, conservateur et farouche opposant aux passeports européens Covid-19, a demandé à madame Small si Pfizer était en mesure de fournir aux législateurs les preuves réunies (avant de le mettre sur le marché) que le vaccin aurait empêché la transmission du coronavirus.
« Le vaccin Pfizer Covid a-t-il été testé pour arrêter la transmission du virus avant son entrée sur le marché ? Si ce n’est pas le cas, dites-le clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte d’y être. »
[Voir aussi :
Effets de l’audition Covid au parlement européen]
Source:
Autre article sur le sujet :
Voir vidéo sur l’énorme aveu de Pfizer
Bien plus qu’une supercherie. Excellent article.
J’aimeAimé par 1 personne