La sexualité infantile selon l’OMS: planquez vos gosses!
La sexualité infantile selon l’OMS: planquez vos gosses!
A l’origine des concepts de « droits sexuels » et d’éducation sexuelle
par Ceri à 11:00
Il est difficile de remonter à la source de cette dangereuse vague de « droits sexuels », même si on commence à savoir qu’elle date de la brillante époque d’Alfred Kinsey et de ses « recherches » critiques aujourd’hui. Ce qui est le plus dérangeant avec ce concept, c’est qu’il considère les enfants comme des «êtres sexuels», dont la sexualité doit pouvoir s’exprimer en fonction de leurs « capacités évolutives ». Ou, il s’agit d’une vieille revendication des lobbys pédophiles. Pour y voir plus clair, rien de tel qu’une petite chronologie.
D’abord, il faut préciser que dans l’absolu, tout le monde est pour les « droits sexuels », évidemment, à partie pour les pédophiles. Les enfants sont inclus dans ces «droits sexuels», et nous pensons que les enfants sont aptes à prendre des décisions d’ordre sexuel, sur peut-être une normalisation rampante de la pédocriminalité sous le couvert de ces droits sexuels.
A ce concept de « droits sexuels », il faut ajouter celui de l’éducation sexuelle, tout aussi pernicieux. Car là encore, tout le monde est pour l’éducation, et tout le monde veut que les adolescentes soient pas à plus, donc sur que l’éducation sexuelle est bien. Cependant, quand on lit certains documents de référence comme les normes pour l’éducation sexuelle de l’OMS (qu’on est en train de répandre en Asie) ), on est de effrayé qu’on va constater Sortes de toutes ses évoquer Sexuelles devant Pratiques des enfants de maternelle, avec une vision de la sexualité très « pratique ». Pour mieux comprendre, je renvoie à l’analyse d’Ariane Bilheran:
A. Bilheran – Normes pour l’éducation sexuelle en Europe – 26 avril 2017
Années 30 à 50: l’entrée en jeu des fondations
Ce sont des fondations privées, comme les fondations Rockefeller ou Ford, appartenant aux magnats de l’industrie du même nom, qui ont financé les premiers travaux des précurseurs de l’éducation sexuelle, en premier lieu Alfred Kinsey.
Ces fondations privées, les questions de l’argent amassé par les gens qui contrôlent de grandes parties de l’industrie du pays, servent à financer le contrôle social par l’éducation et les services sociaux du pays, le tout dans l’intérêt du business , comme cela a été signalé par une commission d’enquête US dès 1915 [1] . Ceci, alors que les magnats en question veulent éviter de payer le moindre impôt.
Sur un déjà évoqué assez longuement Alfred Kinsey et ce que certains disent encore de «recherches» sur le sujet de la sexualité humaine. Lui qui travaillait à l’origine sur les insectes s’est pris de passion pour les pires déviations sexuelles, pédophilie comprendre, pour combien de temps il faut à un enfant pour avoir un orgasme. Il convient également que la société est conditionnée à mal juger les pédophiles, et que c’est à cause de cette attitude que les victimes se sentent mal.
Kinsey passe pour une référence, même si sur plus que le cite dans les bibliographies. Pour diffuser les théories de Kinsey, il faut une apparence sérieuse, et même scientifique, si bien que créé à l’Institut Kinsey , qui a également fait des études à la commande pour des psychiatres, des psychologues, des spécialistes du travail social par l’obtention de données sur les comportements sexuels …).
La fondation Rockefeller a été un des premiers ministres et principaux donateurs, par l’intermédiaire du Conseil national de recherches [2] et son « comité pour la recherche sur les problématiques sexuelles: » La Fondation Rockefeller a subventionné le comité pour des recherches sur les problèmes sexuels du Conseil national de recherches du Canada, pour un montant total de 1.755.000 $ de 1931 à 1954. Dans cette somme, les activités menées par le Dr Kinsey ont reçu 414.000 $ de 1941 à 1949, comme cela a été rapporté par la Fondation Rockefeller au Comité Reece » [3] , écrivait René A. Wormser dans son livre » Les fondations: leur pouvoir et leur influence « .
Si Kinsey a pu publier ses premiers ouvrages, c’est donc grâce à la fondation Rockefeller. Le Comité Reece a siégé de 1954 à 1956 afin d’enquêter sur les activités de fondations US qui bénéficie d’une exonération d’impôts. Kinsey, qui a ouvert un volet ouvert avec un financement de la fondation Rockefeller.
Par ailleurs, Kinsey était très proche du directeur des Sciences Médicales de la Fondation Rockefeller, un certain Alan Gregg , qui a toujours soutenu malgré les polémiques .
En 1948, Kinsey publie son premier tome sur la sexualité masculine, moins d’une vision de la sexualité masculine, « Comportement sexuel dans le mâle humain », avec l’argent de Rockefeller, mais quand les doutes commencent à se faire jour sur ses méthodes et que le scandale éclate, la fondation cesse ses donations annuelles à l’Institut Kinsey .
Dès les années 50, la fondation Rockefeller fonde le Conseil de population pour financer la recherche favorable à la régulation de la population, et donc à l’avortement, à l’éducation sexuelle etc. Les chercheurs ont choisi aussi dans des pays en développement afin d’y porter la bonne parole. La fondation Ford a vite rejoint le Population Council. Parmi les Donateurs Actuels de lobby CE , sur M. Trouvé Toujours la Fondation Ford, Mais aussi la Fondation Bill & Melinda Gates, IBM, l’IPPF, la Fondation Kellogg, la Fondation Nike, la Packard Fondation, Save the Children, l’UNICEF, l’UNESCO, les gouvernements anglais, hollandais, suédois, norvégien, irlandais, danois, des USA.
1964: Création du SIECUS, la grande offensive de l’éducation sexuelle
Le Dr Mary Calderone quitte le SIECUS (Conseil de l’information et de l’éducation sur la sexualité des États-Unis) à New York, afin de développer l’éducation sexuelle. Calderone voit les enfants comme des «êtres sexuels» , dont la sexualité est mal comprise par les adultes en général, et les parents en particulier.
Calderone avait jusque-là milité pour le contrôle des naissances, et dans cette lutte pour l’éducation sexuelle, avec comme conséquence la sexualisation des jeunes et même des enfants, une idée dès le départ des financements de fondations Ford et Rockefeller . Une partie de l’argent vient aussi du ministère de l’Éducation.
Selon le Dr Judith Reisman, qui a travaillé sur l’Institut Kinsey, » faisant office de branche de l’éducation sexuelle pour l’Institut Kinsey, SIECUS transposait l’idéologie de Kinsey en programmes d’éducation sexuelle » . Les objectifs de cette éducation sexuelle ressemblent beaucoup à ceux que l’on retrouve dans les normes publiées dans la branche européenne de l’OMS: apprendre à connaître le plaisir, le détacher de la notion de mariage, la normalisation de nombreuses pratiques comme la sodomie, la pornographie …
C’est SIECUS qui a lancé l’idée que la sexualité est une partie de la santé humaine , l’idée que l’on retrouve dans les normes comme dans la déclaration des droits sexuels, qui ne se trouve pas dans un autre article dans les écoles françaises. Comme tout le monde à la santé, tout le monde a le droit d’avoir sa sexualité. Soit, mais qu’en est-il des enfants et des pédophiles? C’est là que ça coince: les enfants sont intégrés à cette notion de « droits sexuels », et les pédophiles n’en sont pas exclus.
Dans les années 70, John D. Rockefeller se concentre sur l’éducation sexuelle , avec la fondation Ford. Les deux victimes de l’argent à SIECUS, ce groupuscule qui considère que les enfants ont une sexualité dès la naissance et qui sert de moteur à la propagande sur l’éducation sexuelle.
En 1974, Rockefeller a rencontré en place le projet sur le développement sexuel humain, qui visait à développer l’éducation sexuelle et travaillait notamment sur la manière dont les parents parlent de sexualité à leurs enfants, se désolant que les parents évitent le sujet, ou encore sur abus sexuel sur les mineurs devant les tribunaux. Sur l’a compris: le mais a été de développer l’éducation sexuelle , version Kinsey (c’est-à-dire en cherchant à admettre à la société que les enfants ont, et ont besoin d’une sexualité).
Ce machin a été financé pour faire des pseudo-études scientifiques qui influencent le débat public dans le sens voulu au départ. Tous ces groupes financés par les « philanthropes » ont permis d’activer les politiques publiques. Dès la fin des années 60, le gouvernement US s’implique dans le planning familial, à partir de 1973 milite aussi pour l’avortement, tout juste légalisé.
Un rapport technique de l’OMS a rédigé cette année-là pour la première fois le concept de la santé sexuelle comme un élément qui permet d’ enrichir et d’ améliorer la personnalité, la communication et l’amour . Ce rapport va même plus loin, en affirmant que » à la base de ce concept il ya le droit à l’information sexuelle et le droit au plaisir » . Donc, dès 1975, le pied de l’éducation sexuelle était dans la porte [4] .
Clairement, ce rapport fait du planning familial un instrument de propagande en matière de santé sexuelle, qui deviendra attentif à l’éducation sexuelle et aux enfants.
On parle d’identité de genre, et surtout de préconiser une « meilleure compréhension » et une « attitude positive » envers les « pratiques sexuelles », sans préciser que la pédophilie n’est pas incluse. On recommande une « neutralité » des professionnels de la santé, qui est très bien pour les homos, trans et autres, mais posent un problème important dans le cas des pédophiles.
Par ailleurs, les auteurs de ce document critiquent par avance les réactions des adultes (parents et professionnels) face à la sexualité infantile et notamment à la masturbation des enfants (p.17). Il faut dire que les années 70 étaient une grande période de revendications pour les pédophiles, qui croyaient à leur prochaine « libération sexuelle », celle-ci passant évidemment par la « libération sexuelle » des enfants .
Enfin, de façon à préparer les mentalités à cette « éducation sexuelle », le rapport préconise de constituer une base documentaire sur la sexualité, d’anciens professionnels à cette question en particulier, mais aussi de développer un système d’éducation sexuelle avec des manuels , des formations, de la vulgarisation, et qui a désigné la santé sexuelle comme une partie intégrante de la santé globale. Avec les mêmes « droits » qui s’y rattachent.
Parmi les participants à la conférence qui a préparé ce rapport, on retrouve l’amie Calderone, qui a toujours considéré que les enfants ont eu une sexualité, incomprise de leurs parents.
Années 90: l’éducation sexuelle complète
En 1994, la santé sexuelle est comprise comme une partie de la «santé reproductive», très à la mode à l’époque, dans le programme d’Action de la Conférence internationale sur la population et le développement [5] .
SIECUS commence à diffuser ses guides pour une éducation sexuelle complète, qui connaît sa 3 e édition en 2004 . Petit à petit, cette notion d’ éducation sexuelle complète se répand dans les milieux professionnels, et elle arrive désormais en Europe, notamment avec les Normes pour l’éducation sexuelle de l’OMS. Ce guide de SIECUS compile des recommandations pour éduquer sexuellement les enfants depuis la crèche jusqu’au bac. Des normes sont proposées pour les années à venir.
Au fil des années 90, des conférences de l’ONU parlent de santé sexuelle. D’ABORD sur des parle de femmes et Celle des filles, des Pays en Puis Développement, la santé sexuelle Puis et la reproduction is l’ordre du jour Dans intégrée des Droits humains, » Bougeant les Droits de du Domaine vers le domaine du public privé » (conférence de Pékin en 1995). C’est-à-dire que l’ONU va s’immiscer dans la vie privée des humains, via les politiques publiques qui prennent les questions de « santé sexuelle », d ‘ »éducation sexuelle » et de « droits sexuels » .
Au cours des années 2000, l’IPPF (la fédération internationale de planification familiale) a pris le relais, en créant le matériel pédagogique « à la destination des ONG, pour qu’elles présentent l’action favorable à la vision ONUsienne des » Droits réservés « & Co. sur un par exemple » L’ éducation sexuelle en Europe. un guide de référence aux politiques et pratiques » en 2006, Qui s’adresse aux gouvernements européens Directement, verser » Qu’ils développent de Meilleures policies and Liées à l pratiques ‘éducation sexuelle’ .
2002: « définir la santé sexuelle ».
L’OMS publie un « document » qui est en fait un guide de recommandations à destination des Etats, au sujet de la « santé sexuelle » que redéfinit. Ce document a été publié à Genève , l’antre du patriarcat, fait suite à une « consultation technique » qui s’est déroulée du 28 au 31 janvier 2002, organisée conjointement par l’OMS et l’Association Mondiale de Sexologie WAS, since since Association mondiale pour la santé sexuelle, ce qui fait moins peur).
Le tout, grâce au financement de la Fondation Ford, qui s’énerve souvent derrière le lobbying en faveur des droits sexuels et qui bénéficie d’un statut consultatif au conseil économique et social de l’ONU depuis 2014.
Retracer les participants à la conférence de la Fondation Ford, un médecin spécialisé dans la santé sexuelle, le genre etc. Il y a aussi plusieurs membres de l’IPPF ou de SIECUS, des «sexologues» souvent rattachés à l Association mondiale de sexologie, quelques universitaires.
Le mais de la conférence de 2002, qui a réuni une soixantaine d’experts, était triple:
- Discuter (concepteur en réalité) des concepts clés, y compris la notion de santé sexuelle qui a été redéfinie;
- Examiner les barrières spécifiques à la promotion de la santé sexuelle pour les adultes et les adolescents (notez qu’on ne parle pas encore officiellement de la santé sexuelle des enfants).
- Propos des stratégies appropriées et efficaces pour promouvoir la santé sexuelle.
Ce «document» est assez hypocrite car il prétexte la «santé sexuelle» pour faire passer l’éducation sexuelle. Il répond, nous dit-on, à une demande de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS), de l’OMS Europe et de l’Asso mondiale de Sexologie, qui veut mettre à jour le rapport de 1975. L’OMS a suivi en organisant des groupes de travail qui ont permis de pondre ledit « document ».
Les chevilles ouvrières de cette «technique de consultation» sont:
- Esther Corona de WAS , une Mexicaine qui est aussi consultante en «santé sexuelle» pour l’OMS, l’UNESCO et autres machinistes mondialistes. Elle est très active pour instaurer l’éducation sexuelle en Amérique Latine. Le Conseil de la population, l’IPPF (planning familial international), a été préparé par l’UNESCO, le Conseil de la Population, l’Organisation Mondiale de la Population (IPPF), qui a été préparé pour les recommandations au niveau international et local. historie d’éducation sexuelle. Maintenant que la notion d’éducation sexuelle est bien rentrée dans les mentalités, elle attaque sur la théorie du genre , version Kinsey bien-sûr.
- Eli Coleman: c’est un autre sexologue, US , fondateur de l’International Journal of Sexual Health et de l’International Journal of Transgenderism. Il a aussi présidé la Société pour l’Étude Scientifique de la Sexualité , l’ Association Professionnelle Mondiale pour la Santé des Transgenres (anciennement la Harry Benjamin International Dysphoria Association), l’ Association Mondiale pour la Santé Sexuelle (WAS) , et l’Académie Internationale de Recherche Sexuelle . En 2013, il est devenu président de la Société de Sexologie et de Recherche 1 .
- Rafael Mazin, président de l’Organisation panaméricaine de la santé, en pointe dans la propagande sur l’éducation sexuelle, et consultant à l’OMS.
La conclusion de cette conférence de 2002, et du document qui va avec, attaquer sur tous les fronts de la propagande, afin de rendre cette notion obscure de « droits sexuels »:
- Développer et étendre un programme de recherche élargie sur la sexualité et convoquer une réunion pour définir les priorités de recherche.
- Élaborer des documents d’orientation normative sur la sexualité, la santé sexuelle le développement sexuel pour les pays en voie de développement.
- Élaborer des programmes et des outils de formation sur la sexualité humaine pour les médecins et les agents de santé.
- Évaluer les modèles de prestation de services et les programmes pour établir les meilleures pratiques liées à la santé sexuelle.
- Plaider pour la collecte de données parents à la sexualité et à la santé sexuelle dans tous les pays.
- Évaluer les méthodes de recherche pour étudier la sexualité et les comportements sexuels et élaborer un document d’orientation sur les méthodes de recherche.
- Développer la capacité de recherche dans le comportement sexuel et la sexualité dans les pays en développement.
- Élaborer un document d’orientation complet sur la santé sexuelle pour aider les pays à élaborer une stratégie nationale et des politiques publiques en matière de santé sexuelle.
2006: le Plan stratégique de l’IPPF pour une « éducation sexuelle complète »
En 2006, l’IPPF sort son fils » plan stratégique pour une éducation sexuelle complète » . D’entrée de jeu, on nous dit que » L’IPPF reconnait le droit de tous les jeunes à la jouissance de la sexualité et d’exprimer leur sexualité de la manière qu’ils ont choisie » . Très bien, mais à partir de quel âge est-on un « jeune »? Est-ce qu’à 12 ans, 10 ans, on est un « jeune »?
L’IPPF se donne pour mission de promouvoir, protéger et faire respecter les droits sexuels et reproductifs de tous les jeunes . Et de preciser que » Cela inclut le droit à l ‘ information et à l’éducation à la sexualité « , y compris les enfants de verser tous en fonction de âges their « CAPACITES » évolutives , concept d’ économie Flou et de génial Qui Përmet considerer des des mineurs comme des personnes libres d’avoir un consentement éclairé. Ce qui n’est pas tout à fait le cas, mais tout rejoint = à fait la propagande pédophile.
Le concept d’éducation sexuelle complète, ainsi que les aspects biologiques que sociétaux, émotionnels, et concernent toutes les tranches d’âge. Cette éducation complète comprend sept volets:
- Le genre
- La santé sexuelle et reproductive et le SIDA
- Les droits sexuels et la citoyenneté sexuelle
- Le plaisir
- La violence
- La diversité
- Les relations
Jamais l’IPPF ne rappelle que les mineurs doivent être protégés de la sexualité adulte et avec les adultes.
Dans ce document, l’IPPF donne aux ONG un mode d’emploi pour mettre en place ces questions d’éducation sexuelle: en développant des partenariats axés sur l’éducation sexuelle complète avec des professionnels de tous les horizons, impliquer les jeunes dans le processus, créer un plan pour surmonter les obstacles dans la mise en œuvre de l’éducation sexuelle complète, intégrer les questions du SIDA et des MST dans le concept …
L’IPPF recommande encore, par exemple:
- D » « un environnement d’établir apprentissage les sécurisé Dans les discussions ouvertes Lequel et sans le sexe sur jugement, la sexualité et la santé sexuelle may avoir lieu » . On comprend that be will be question of reporter in the full concept of education the complete of the corollaires that about children to « fully services ».
- » Élaborer un » accord de groupe « avant de commencer tout travail pour garantir les limites de la discussion qui protègent les jeunes et les éducateurs » . C’est-à-dire qu’avant même les débats, un consensus est déjà défini par les spécialistes qui sont dans le coup, pour cadrer ce qui est acceptable ou pas. D’où, probablement, l’absence totale de la notion de mineur dans ces textes et la non exclusion de la pédophilie des pratiques acceptables.
2011: « Le guide des jeunes sur les droits sexuels »
L’IPPF trier en plusieurs langues une plaquette à destination des jeunes, intitulée « Exprime-toi! Le guide des jeunes sur les droits sexuels: une déclaration de l’IPPF » . Ce guide explique donc aux «jeunes», dont on ne précise jamais l’âge minimal (12 ans, 10 ans) en quoi consiste ce concept de droits sexuels. On y trouve le jargon habituel, mais un passage est assez interpellant: c’est les 3 paragraphes de la page 9 qui répondent à la question « qu’est-ce qui rend les droits sexuels des jeunes différents de ces adultes ? ». Il est assez édifiant (j’ai mis en gras quelques passages):
« Les Rights Sexuels des Jeunes Sont Différents et plus complexes Qué les Droits Sexuels des adultes. Une raison répandrai CECI EST le Reniement généralisé de la sexualité des jeunes. Il exists Une idée fausse SELON Laquelle les jeunes NE pas de are, ous ne devraient pas Être des Êtres Sexuels , l’exception de with cERTAINS GROUPES, tells Que les jeunes de satisfait ou les jeunes au-delà d’un certain âge. la Sexualité Est un aspect de l’Être fondamentaux Humain les phases Durant de TOUTES la Vie dØ each Individu .
Une autre raison pour laquelle les droits sexuels des jeunes sont particulièrement complexes, est d’avoir un besoin de protéger les jeunes et de l’autre, de leur offrir des opportunités de développement.
Il existe une supposition commune que les jeunes sont incapables de décider par eux-mêmes , donnant aux parents ou aux autres adultes une autorité complète sur les décisions liées à leur sexualité. La résistance à reconnaître la sexualité des jeunes, qui leur permet de prendre les décisions nécessaires pour lutter contre les droits sexuels des jeunes est encore plus difficile .
Un des défis les plus fondamentaux dans le travail avec une perspective fondée sur les droits est de réussir à trouver un équilibre entre les droits des jeunes à la protection et leur droit à la participation et à la prise de responsabilité pour exercer leurs droits.
Comme chaque jeune se développe à son propre rythme , il n’existe pas d’âge standard dans lesquels certains droits sexuels et protections gagnent ou perdent de l’importance. Par conséquent, le fait de trouver un équilibre entre la protection et l’autonomie devrait être basé sur le développement des capacités individuelles de chaque jeune . «
Si on comprend bien ce texte, les jeunes de tous les âges, les enfants compris, ont des capacités évolutives différentes d’un individu à l’autre. Il est donc arbitraire de fixer une limite d’âge à l’exercice des droits sexuels et des fonctions individuelles. On revient donc sur la notion de mineur, qui n’a pas le consentement libre et ne peut pas consentir à des rapports sexuels, qui est plus avec un adulte.
Un peu plus loin dans le document, sur le tombé sur une explication d’une des notions-clés dans les droits sexuels: le jeune, ou l’enfant aux » cadres intermédiaires » . Où l’on comprend clairement que selon les rédacteurs de ce guide, même des » enfants de bas âge » sont aptes à prendre des décisions.
Aussi bien l’amalgame entre « jeune » et « enfant », passant d’un concept à l’autre au gré des besoins. Tout cela pour expliquer pourquoi il faut arrêter de protéger les enfants / jeunes en fonction de leur âge, mais le faire en fonction de leurs «cadres évolués». Si on suit ce raisonnement, a child sexually sexual car capable to decision of having sexual relations, y compris with adult.
Et on comprend aussi que personne ne le droit d’interpréter à ces choix sexuels, même pas les parents. L’IPPF recommande également de laisser les jeunes signataires des contrats, comme des contrats de mariage, peut-être supposer, ou des contrats avec un chirurgien esthétique pour changer de sexe.
Voici ce texte, j’ai mis en jeu les passages des ennemis, je propose un petit exercice de lecture entre les lignes afin de mieux comprendre les objectifs poursuivis par ce machin:
« L’enfance et la jeunesse des Sont outer et Périodes de changement. Le concept de de l’enfance may Varier d’un paie à l’autre, Mais en général les enfants de bas âge , plus en Ontario de protection et Besoin d’aide de la partie des adultes répandrai Prendre des décisions Qué les jeunes , plus AGÈS. En Grandissant, les CAPACITES émotionnelles, intellectuelles, et morphologies des enfants se mentales développent » .
Explication: what on we need to the children to the age for the age
- Que les enfants en bas âge peuvent prendre des décisions
- Que les enfants en bas âge n’ont pas besoin de protection et d’aide pour prendre des décisions, y compris en matière de sexualité.
» Parallélement, les jeunes des PEUVENT Encore EXPÉRIENCES Avoir et Des Informations Limitées, lévite Liées à La Celles sexualité. ‘Le dévelopement des CAPACITES’ Signifie Qué each developpé Jeune La Capacité d’graduellement Assumer COMPLETEMENT SES Actes et décisions . Céci un lieu à un dIFFÉRENTE rythme verser each jeune. A specified un de l ‘ âge, CERTAINS jeunes will be , plus Mûrs et expérimentés Que d’Autres. Les iniquités sociales influencent also sur les CAPACITES des jeunes. Céci signifié fait Que le fait de Pressothérapie un bon équilibre Entre la protection et l «Autonomie est un processus complexe qui demande à ce que tienne compte de la capacité individuelle de chaque jeune, au lieu de se concentrer sur son âge « .
Explication: L’IPPF considère que les jeunes peuvent avoir des expériences liées à la sexualité. Que les jeunes / enfants évoluant à des rythmes différents les uns des autres, certains sont aptes à « prendre leurs actes et décisions » dans le domaine de la sexualité. Enfin, l’IPPF nous explique qu’il est nécessaire de protéger et de rendre autonomes les jeunes avant même leur majorité sexuelle, concept qui, lit sur le délire de l’IPPF, est obsolète.
« Les adultes, les parents, et l’Etat tuteurs la responsabilité d’Ontario I’assureur Que les Droits des Jeunes à tout Soient respectés vieillissons. Céci l’assurance d’implique un environnement Propice pour le Développement, Qui garantit la protection contre Une simultanément le danger when les jeunes de connaissances heuristiques manquent, d’CAPACITES OU se protect verser expérience Entièrement. en cas de Toute, le Développement des CAPACITES des jeunes de verser their Droits de Manière Exercer autonome doivent Être reconnues » .
Explication: ce passage est très dangereux. En effet, il soulève l’obligation pour les parents et tout autre adulte de reconnaître le «développement des capacités» du mineur dans la prise de décision en matière sexuelle. Autrement dit: votre nièce de 12 ans vous dites qu’elle est tombée amoureuse du voisin qui a 25 ans et plus, et vous devez encourager dans sa prise de décision avec le freiner est interdit et que vous devez laisser » exprimer sa sexualité « .
Rappelons encore une fois que si les mineurs ne votent pas, ne signent pas de contrats et ne peuvent pas s’engager dans l’armée, c’est parce qu’ils n’ont pas de consentement éclairé, parce qu’en tant que que Ils ne peuvent pas prendre le recul par rapport aux situations comme ils le font des adultes. L’IPPF anéantit cette notion de protection des mineurs.
« Nous devons adopter une approche progressive des droits sexuels des jeunes . Ils devraient être habilités à exercer leurs droits par eux-mêmes , tout en étant protégés et guidés par leur meilleur intérêt à l’esprit. Les programmes et services pour les jeunes comprennent également leur diversité, par exemple, ethnique, culturelle et les différences sexuelles.
Le concept de développement des capacités des jeunes est issu de la Convention relative aux droits de l’enfant (ONU). Cet instrument met l’accent sur les droits des enfants et des adolescents, ainsi que sur les dirigeants et les sociétés valorisant les opinions et les décisions des jeunes en vue de leur développement .
Explication: les jeunes ont des droits sexuels à la naissance, et ceux-ci sont évolutifs en fonction des capacités de chacun à prendre des décisions. Les adultes favorisent l’autonomie dans la prise de décision du jeune en matière sexuelle.
L’IPPF sur la Convention des droits de l’enfant de l’ONU [6] , qui n’a pas grand chose à voir avec la sexualité, pour affirmer des principes tels que le « développement des capacités » ou encore celui d’ enfant aux services évolutifs , évoqués par la Convention.
La Sexual Rights Initiative
Cette coalition d’organisations favorables à l’éducation sexuelle mène également un important lobby auprès des institutions internationales. Elle est notamment financée par la Fondation Ford . Son but est d’intégrer les droits sexuels et reproductifs dans les droits humains, en agissant principalement sur le Comité des droits de l’homme de l’ONU, qui fait suite aux recommandations aux Etats.
» Assurer la responsabilité et la mise en œuvre par les États membres, les organisations de la société civile et leurs partenaires pour invoquer stratégiquement les normes et les arguments en matière de droits de l’homme dans leurs plaideurs nationaux et internationaux » , explique une chercheuse de la fondation Ford. En gros, on cherche à passer aux lois répondant aux objectifs de l’éducation sexuelle et des droits sexuels, via la pression d’associations censées représenter la «société civile».
En Amérique Latine, le lobbying est particulièrement intensif, et le monde académique, le monde de la recherche et les juristes: « Les bénéficiaires de la Fondation Ford » collaborent également pour organiser des rencontres régionales biennales en Amérique latine pour les juges, les huissiers de justice, les associations d’avocats, les universitaires et les militants en matière de santé et de droits reproductifs dans les forums internationaux, régionaux et nationaux et de renforcer les approches sur la façon d’utiliser ces avancées dans leurs contextes respectifs. De même, Ford finance un réseau de militants juridiques et de chercheurs en Amérique latine pour promouvoir l’engagement des professeurs de droit latino-américains et les juges dans l’avancement des droits sexuels et reproductifs et l’intégration des normes parents à droits de l’homme dans leurs pratiques juridiques et pédagogiques.
Les droits sexuels et reproductifs en tant que droits de l’homme sont également poussés dans le cadre de l’agenda du développement mondial « .
On peut citer des dizaines et des dizaines d’ONG qui travaillent à l’éducation sexuelle à travers le monde, comme en d’autres temps ont joué les missionnaires. Tous les continents sont concernés, et le rassemblement de l’Europe, où sur une diffusé en premières théories de « droits sexuels » et d' »éducation sexuelle » un servi de laboratoire. Maintenant que l’argumentaire est rôdé et que les structures qui sont répandent cela pour les légitimes, le rouleau compresseur peut passer dans les pays moins riches.
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En filigrane des principaux textes sur le sujet, sur comprend bien que l’enfant devient un sexuel, avec des droits sexuels qu’il convient d’épanouir. Par ailleurs, il existe des questions sur le genre, mais surtout sur la déclaration des droits sexuels de l’IPPF.
Si on ne prend pas garde à présent, nous allons faire face à une légalisation rampante de la pédophilie, mais pas seulement. le corollaire de cette sexualisation très précoce des enfants sera plus en rapport avec la sexualité en général, et leur en particulier. L ‘«éducation sexuelle» telle qu’elle est aujourd’hui définie dans les instances internationales et qu’elle a été transmise en France, répond à la vieille demande des lobbys pédophiles, à savoir les enfants comme des êtres sexuels avec des fantasmes d’ordre sexuel, plaqué sur la sexualité adulte.
[1] La commission Walsh.
[2] Créé en 1921, le Conseil national de recherches a été financé par le Bureau de l’hygiène sociale, puis c’est la fondation Rockefeller qui a pris le relais à partir de 1933 . Bien que les administrateurs se soient toujours montrés conservateurs dans leurs décisions, ils ont financé les recherches de Kinsey avec l’argent de la Fondation Rockefeller: 1.600 $ en 1941, et 40.000 $ par un à partir de 1947. Le Conseil national de recherches servait de devanture pour le financement d’autres structures du même genre, comme l’Institut pour la recherche sur le sexe.
[3] Devant la commission Reece, le représentant de la fondation Rockefeller a expliqué qu’en 1931, l’idée est de jouer le rôle de la physiologie reproductrice et du comportement . On est à quelques années seulement de l’arrivée d’Hitler et de son délire eugéniste.
[4] Notamment, l’un des buts de la conférence de l’OMS qui a précédé la rédaction du rapport était de faire des recommandations sur «le rôle de la sexologie dans les programmes de santé, et particulièrement dans les activités de planification familiale . Il a également question de faire des recommandations sur le contenu et la méthodologie de l’enseignement de la sexualité humaine aux professions de santé, de lancer et d’organiser des programmes d’enseignement sur la sexualité humaine … A ce stade, on ne parle toujours pas de sexualité des enfants aux «qualités évolutives», mais aucune barrière n’empêche qu’on parle de cela ensuite.
[5] Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD)
[6] Dans la convention des droits de l’enfant , sur le concept de « développement des capacités » des enfants, sur les parents et tous les adultes à leur donner l’orientation et les conseils appropriés à l’exercice des droits »des enfants. Entre ces droits, la liberté de pensée, de conscience et de religion (comme un enfant de 5 ans, choisir une religion de manière éclairée, autres enfants), mais jamais la convention ne parle de «droits sexuels».
Source :
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2017/05/11/35271408.html
2 commentaires sur « L’OMS promeut la pédophilie via l’enseignement et le droit à la libre sexualité des enfants au nom de leur santé! »