L’Islam visé par le Nouvel Ordre Mondial

Mot à dire

Le Nouvel Ordre Mondial œuvre à étendre ses tentacules sur toute la planète pour pervertir les religions ou carrément les éradiquer afin d’assoir sa vision du monde tournée uniquement vers le consumérisme, l’hédonisme et la débauche, prélude à l’avènement du futur « prince du monde », ce rejeton du roi David(machiah)* que les juifs appellent de tous leurs vœux chaque jour qui passe.
* Voir article  » La définition légale du Machiah » : https://fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/800646/jewish/La-dfinition-lgale-du-Machiah.html

Seulement, il y a un hic : l’obstacle que représente l’Islam pour le Nouvel Ordre Mondial . Sa vision du monde va au- delà de ce que qu’en pensent les promoteurs du mondialisme.
En effet, l’Islam appelle ses fidèles à la modestie, à une vie humble dénuée de toute ostentation, à une vie de famille exemplaire, à faire le bien et à proscrire le mal et à donner à chaque chose sa juste mesure. De plus, l’Islam se démarque des autres religions par le fait qu’il considère, à juste titre d’ailleurs, cette vie ici-bas comme éphémère et que le vrai salut et la paix de l’âme se trouvent dans la vie éternelle, par l’adoration d’Allah,Le Dieu Unique, en prohibant toute idolâtrie et tout associationnisme quels qu’ils soient. Allah dit : » La vie présente vous agrée-t-elle plus que l’au-delà ? – Or, la jouissance de la vie présente ne sera que peu de chose, comparée à l’au-delà ! »(Coran 9 : 38) » Cette vie d’ici-bas n’est qu’amusement et jeu. La Demeure de l’au- delà est assurément la vraie vie. S’ils savaient ! « (Coran 29 : 64)Par ailleurs , un hadith du Prophète, bénédiction et paix de d’Allah sur lui, affirme que cette vie ici-bas n’a que peu d’importance auprès d’Allah. D’après Sahl Ibn Sa’d (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Si la vie d’ici-bas avait auprès d’Allah la valeur de l’aile d’un moustique alors Il n’aurait pas donné à boire à un mécréant une seule gorgée d’eau ».
(Rapporté par Tirmidhi dans ses Sounan n°2320 qui l’a authentifié et il a également été authentifié par Cheikh Albani dans sa correction de Sounan Tirmidhi)
C’est la raison pour laquelle les musulmans pieux ne craignent pas la mort (1) qu’ils considèrent selon leur foi comme la porte vers le Royaume éternel de Dieu.

(1) Une explication s’impose ici pour éviter de faire l’amalgame entre la mort telle que comprise par les musulmans et celle comprise par des fanatiques comme il s’en trouve dans toutes les religions et idéologies :
 » D’après Abî Huraïra, le Messager d’Allâh (salallâhou ‘alayhi wassalaam) a dit : « Allâh Le Très-Haut a dit : « Si Mon serviteur aspire à Ma rencontre, j’aspirerai à Sa rencontre, et s’il déteste Ma rencontre, Je détesterai sa rencontre ».( Hadith rapporté par les Imams an-Nawawi et al-‘Asqalani)

Commentaire du hadith

« Celui qui aime la rencontre d’Allâh, Allah aimera sa rencontre ».
El-Qastalâni a dit : « El-Khattâbi a dit :  » Aimer la rencontre d’Allâh, c’est préférer l’au-delà à ce bas monde et ne pas aimer y résider longtemps. Bien au contraire, il doit toujours être prêt à le quitter. »

Quant à la rencontre, elle est de plusieurs sortes :

Il y a entre autres la vision ou bien la résurrection, en vertu de la parole du Très Haut : « Ceux qui traitent de mensonge la rencontre d’Allâh sont perdus »(Coran 6 : 31)

C’est-à-dire la résurrection. Elle peut être aussi la mort, en vertu de la parole du Très Haut : « Pour celui qui espère la rencontre d’Allâh, le terme fixé par Allâh approche ».(Coran 29 : 5)

Ibn El-Athîr a dit : « Par rencontre, il faut entendre le départ vers l’au-delà et l’aspiration à ce qu’il y a auprès d’Allâh, et non la mort, car tout le monde abhorre la mort. Ainsi, celui qui se détourne de ce bas monde et l’ abhorre, aura aimé la rencontre d’Allâh ; et celui qui préfère ce bas monde et s’y sent en sécurité aura détesté la rencontre d’Allâh. »

L’Imâm Mâlik l’a rapporté aussi dans le Muwatta’, livre des enterrements, en ces termes:
D’après Abû Huraïra, le Messager d’Allâh a dit : « Allâh le Très-Haut a dit : »Lorsque le serviteur désire Me rencontrer, J’aime le rencontrer, et lorsqu’il déteste Me rencontrer, je déteste le rencontrer ».

Voir plus d’explications ici : https://www.sunnisme.com/article-hadith-l-aspiration-a-la-rencontre-d-allah-103168130.html/

Le Nouvel Ordre Mondial donc voit d’un mauvais ces enseignements de l’Islam qu’il veut pervertir comme Paul de Tarse et l’empereur romain Constantin 1er ont perverti le christianisme en le paganisant,et qui fut plus tard éradiqué de la société occidentale par les francs-maçons au nom de la laïcité. Pour s’en convaincre, il suffit de lire le manifeste des 300* comme on l’appelle sans compter les tentatives de la « clergisation » de l’Islam pour mieux le freiner.

* Lire article à ce sujet ici : http://www.desdomesetdesminarets.fr/2018/04/22/300-signataires-dune-tribune-dont-sarkozy-demandent-a-ce-que-des-versets-du-coran-soient-frappes-de-caducite/

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 » En quoi l’Islam est consubstantiellement un rempart à ce système qui a clairement pour objectif, de plus en plus avoué, de jeter l’humanité en esclavage, d’abolir les frontières et les nations et de dissoudre les cultures et les religions ou de les rendre compatibles au mondialisme par des changements profonds ?
D’abord, de par son système familial et social fondé sur l’entraide, la générosité et la solidarité, l’Islam s’oppose à l’individualisme et l’égoïsme inhérents au néo-libéralisme froid, et donc à l’éclatement des familles et par conséquent de la société. Une société atomisée constituée d’individus isolés se trouve donc affaiblie face aux coups de boutoir de cette gouvernance mondiale dont l’un des crédos est le diviser pour régner. Ensuite, dans sa logique d’affaiblissement des peuples, l’idéologie mondialisme ambitionne de réduire à néant la morale de ces derniers via la diffusion du libertinage et des pratiques sexuelles déviantes. En effet, tout est mis en œuvre pour faire du mariage dit classique (entre un homme et une femme) une chose surannée et sans avenir, alors que précisément c’est ce modèle traditionnel qui seul peut garantir la stabilité et la cohésion d’une société et donc sa force. Pour ce qu’il s’agit du mariage, l’Islam propose un système simple, équilibré et en accord avec la nature profonde de l’Homme. Loin des mensonges de la passion et du plaisir immédiat vendus par les mass-médias occidentaux, en Islam, la relation entre l’homme et sa femme est fondée sur le respect, l’amour sain et la conscience d’accomplir avant tout un projet divin : celui de faire des enfants et de les éduquer pour en faire des individus dignes et responsables.Par ailleurs, l’atomisation de la société et la décadence des mœurs accompagnent et accélèrent un autre processus qui tend à asservir un peu plus les individus, il s’agit de l’extinction de toute transcendance. Cette dernière est, pour les apprentis-sorciers mondialistes, un obstacle au consumérisme effréné. En effet, la foi, qui donne à l’Homme un sens à sa vie et une perspective qui dépasse cette vie terrestre, est le meilleur antidote au matérialisme glacial et désespéré imposé aux consciences dans les sociétés occidentales. Ainsi, par un phénomène psychologique qui serait trop long de développer ici, les individus sans foi tentent de combler leur vide spirituel en se jetant à corps perdu dans une consommation quasi hystérique de nourriture trop riche, d’objets le plus souvent inutiles ou encore de vêtements trop chers qui seront démodés le mois suivant. Encore une fois, l’Islam est la voie spirituelle la plus à même de résoudre ce problème. Le musulman qui suit simplement les principes de sa religion se détournera aisément de cette frénésie consumériste. D’abord, le Prophète Muhammad (saws), qui est l’exemple ultime des musulmans, incarne parfaitement cette modération, ensuite, étant donné que le croyant a bien intégré que la vie d’ici-bas est éphémère et qu’elle est une épreuve, il concentre plutôt son énergie à se parfaire spirituellement, il est plus attentif à sa vie intérieure qu’aux apparences illusoires et éphémères. »***

*** Voir plus : http://m.alterinfo.net/L-Islam-et-la-resistance-au-Nouvel-Ordre-Mondial_a129452.html

[2006] Frontières de sang, par Ralph Peters
A quoi ressemblerait un Moyen-Orient amélioré
544084-Un-puzzle-de-la-carte-du-Moyen-Orient-se-trouve-au-dessus-de-US-dollars-Banque-dimages

Les frontières internationales ne sont jamais complètement justes. Mais le degré d’injustice qu’elles infligent à ceux qu’elles forcent à vivre ensemble ou qu’elles séparent fait une énorme différence – bien souvent la différence entre liberté et oppression, tolérance et atrocité, légalité et terrorisme, ou même la paix et la guerre.

Les frontières les plus arbitraires et les plus déformées du monde se situent en Afrique et au Moyen-Orient. Dessinées par les intérêts particuliers des Européens (qui ont eu eux-mêmes suffisamment de problèmes à définir les leurs), les frontières africaines continuent de provoquer la mort de millions d’habitants de ces régions. Mais les frontières injustes du Moyen-Orient – pour emprunter à Churchill – génèrent plus de mal que ce qui peut être résorbé localement.

Alors que le Moyen-Orient a – et de loin – de nombreux autres problèmes que de simples frontières dysfonctionnelles – de la stagnation culturelle aux scandaleuses inégalités et au fanatisme religieux le plus sanglant– le plus grand tabou dans la difficulté à rendre l’échec de cette région compréhensible n’est pas l’Islam mais les horribles et pourtant sacro-saintes frontières internationales adorées par nos diplomates.

Bien sûr, aucune modification de frontières, même draconienne, ne pourrait satisfaire toute les minorités du Moyen-Orient. Dans certains cas, des groupes ethniques et religieux sont entremêlés et se sont mariés entre eux. Partout ailleurs, les réunions fondées sur “La Foi ou le Sang” semblent ne pas être aussi joyeuses que ce que leurs partisans en attendent. Les frontières projetées sur les cartes qui accompagnent cet article redressent les erreurs dont souffrent les groupes de populations les plus significatifs, tels que les Kurdes, les Baloutchis, les chiites arabes, mais n’arrivent toujours pas à prendre correctement en compte les chrétiens du Moyen-Orient, les Bahaïs, les Ismaïliens, les Naqshbandis et de nombreux autres minorités moins nombreuses. Et un autre tort qui nous hante ne pourra jamais être redressé par le don d’un territoire : le génocide perpétré contre les Arméniens par l’Empire Ottoman en voie de disparition.

Toutefois, même avec toutes les injustices que ces limites réinventées ne résolvent pas, sans révisions majeures de ces frontières, on ne verra jamais un Moyen-Orient plus pacifique.

Même ceux qui ont en horreur le sujet du changement de frontières seraient bien inspirés de s’engager dans un exercice de réflexion où ils chercheraient à concevoir des délimitations nationales entre le Bosphore et l’Indus, qui irait vers plus de justice, en dépit d’imperfections éventuelles. On peut admettre le fait que les instances gouvernementales internationales n’ont jamais été capables de trouver, hormis la guerre, une façon efficace d’ajuster les frontières qui posaient problème, néanmoins, un effort intellectuel pour saisir ce que peuvent être les frontières “organiques” du Moyen-Orient nous aide à comprendre l’étendue des difficultés auxquelles nous faisons face et continuerons à faire face. Nous sommes en présence de monstruosités colossales, créées par l’homme et qui ne cesseront de générer haine et violence jusqu’à ce qu’elles soient corrigées.

Quant à ceux qui refusent de “penser l’impensable,” qui déclarent que les frontières ne doivent pas changer et que c’est ainsi, il serait utile de leur rappeler que les frontières n’ont cessé de changer au cours des siècles. Les frontières n’ont jamais été statiques et, beaucoup, du Congo au Caucase en passant par le Kosovo, continuent de changer (tandis qu’ambassadeurs et représentants spéciaux détournent le regard pour étudier le vernis sur la pointe de leurs souliers).

Oh, et un petit secret vieux de 5 000 ans d’histoire : l’épuration ethnique, ça marche.

A commencer par la question frontalière la plus délicate pour les lecteurs américains : pour qu’Israël ait un quelconque espoir de vivre dans des conditions de paix raisonnables avec ses voisins, il devra retourner à ses frontières d’avant 1967 – avec des réajustements locaux essentiels pour des raisons de sécurité. Mais la question des territoires entourant Jérusalem, ville maculée de milliers d’années sanglantes, restera probablement insoluble de notre vivant. Là où tous les partis ont transformé leur Dieu en magnat de l’immobilier, des conflits sur les terrains – littéralement – démontrent une pugnacité avec laquelle ne rivalisent pas la rapacité pour la richesse pétrolière ou les querelles ethniques. Laissons donc de côté cette seule question étudiée à n’en plus finir et tournons-nous vers celles qui restent soigneusement ignorées.

L’injustice la plus manifeste dans ces territoires notoirement injustes qui se trouvent entre les montagnes des Balkans et l’Himalaya, est l’absence d’un État kurde indépendant. Entre 27 et 36 millions de Kurdes vivent dans des pays qui jouxtent le Moyen-Orient. (Le nombre exact de Kurdes n’est pas connu avec précision puisqu’aucun État n’a jamais autorisé un recensement fiable.) Ils sont plus nombreux que les Irakiens, et même si l’on choisit de prendre en compte le chiffre le plus bas, ils représentent le plus grand groupe ethnique du monde à ne pas avoir son propre État. Pire encore, les Kurdes ont été opprimés par tous les gouvernements qui ont contrôlé les collines et les montagnes où ils vivent depuis l’époque de Xénophon.

Les États-Unis et les membres de leur coalition ont, après la chute de Bagdad, une magnifique chance de commencer à remédier à cette injustice. L’Irak, ce monstre à la Frankenstein, cet État rapiécé avec des lambeaux disparates, aurait dû être divisé immédiatement en trois États. Nous avons échoué par lâcheté et par manque de vision, forçant les Kurdes à soutenir le nouveau gouvernement irakien, ce qu’ils font en contrepartie de notre bonne volonté à leur égard. Toutefois ne nous y trompons pas : si un référendum libre était organisé, 100 pour cent des Kurdes voteraient pour l’indépendance.

Comme le feraient les Kurdes de Turquie, une population durement et longuement éprouvée, ayant enduré des décennies d’oppression militaire violente pendant lesquelles ils étaient ravalés au rang de “Turcs des montagnes” et ce afin de détruire leur identité. Tandis que la situation critique des Kurdes aux mains d’Ankara s’était quelque peu allégée au cours de la dernière décennie, récemment la répression s’est à nouveau intensifiée et le cinquième oriental de la Turquie peut être considéré comme territoire occupé. Comme les Kurdes de Syrie et d’Iran, eux aussi, se précipiteraient pour rejoindre un Kurdistan indépendant s’ils le pouvaient. Le refus des démocraties légitimes du monde occidental de promouvoir l’indépendance des Kurdes est un péché d’omission contre les droits de l’homme bien pire que les péchés par commission, mineurs et malhabiles, qui régulièrement enflamment nos médias. A propos, un Kurdistan libre, s’étendant du Diyarbakir en passant par Tabriz serait l’État le plus pro-occidental entre la Bulgarie et le Japon.

Si l’on procédait à des regroupements équitables dans cette région, nous aurions trois provinces à majorité sunnite qui formeraient un État tronqué. Celui-ci pourrait finir par choisir de s’unir avec une Syrie qui perdrait son littoral en faveur d’un Grand Liban, orienté vers la Méditerranée : la Phénicie qui renaîtrait. Le sud chiite de l’ancien Irak formerait la base d’un État arabe chiite qui borderait la plus grande partie du golfe Persique. La Jordanie garderait son territoire actuel avec une avancée au sud, aux dépens des Saoudiens. L’État artificiel qu’est l’Arabie saoudite subirait, quant à lui, un démantèlement aussi important que le Pakistan.

La famille royale saoudienne considère La Mecque et Médine comme son fief, et c’est là une cause fondamentale de la grande stagnation du monde musulman. Avec les sanctuaires les plus sacrés de l’Islam sous contrôle de l’État policier d’un des régimes les plus fanatiques et oppressifs du monde — un régime à la tête d’une énorme rente pétrolière, imméritée — les Saoudiens ont pu projeter bien au-delà de leurs frontières leur vision wahhabite d’une foi intolérante aux règles rigoristes. L’ascension des Saoudiens à cette richesse, dont ils ont tiré leur influence, a été la pire chose qui pouvait arriver au monde musulman, dans son ensemble, depuis le temps du Prophète, et la pire chose pour les Arabes depuis la conquête, sinon par les Mongols, par les Ottomans.

Certes les non-musulmans ne pourraient rien changer dans le contrôle des cités saintes de l’islam, mais imaginez donc à quel point le monde musulman se porterait mieux si La Mecque et Médine étaient gouvernées par un conseil tournant, représentatif des plus importants mouvements et universités d’un État islamique sacré, un peu comme un Super-Vatican musulman. Au lieu de procéder par arrêtés, on y débattrait de l’avenir de cette grande foi. La vraie justice consisterait — même si cette perspective ne nous enthousiasme pas vraiment — à donner les champs de pétrole de l’Arabie saoudite aux Arabes chiites qui vivent dans cette région, tandis qu’un quart-de-cercle sud-est irait au Yémen. Voyant son domaine restreint aux Saudi Homelands Independent Territory (le Territoire indépendant des Saoudiens autour de Riyad), la famille royale n’aurait plus la même capacité de nuisance vis-à-vis de l’Islam et du monde.

L’Iran, un État aux frontières complètement loufoques, perdrait une grande partie de son territoire au profit de l’Azerbaïdjan unifié, du Kurdistan libre, de l’État arabe chiite et du Baloutchistan libre ; mais il gagnerait les provinces situées autour d’Hérat, dans l’actuel Afghanistan. C’est là une région qui a des affinités linguistiques et culturelles avec la Perse. L’Iran deviendrait donc ainsi, de nouveau, un État ethniquement perse et la question la plus difficile serait de décider s’il doit garder le port de Bandar Abbas ou le céder à l’État chiite arabe.

Ce que l’Afghanistan perdrait au profit de la Perse à l’ouest, il le gagnerait à l’est, les tribus de la frontière nord-ouest du Pakistan seraient réunies avec leurs frères afghans (le but de cet exercice n’est pas de dessiner des cartes telles qu’on les aimerait mais telles que les populations locales les préféreraient). Le Pakistan, un autre État artificiel, perdrait aussi son territoire baloutche au profit du Baloutchistan libre. Le Pakistan « naturel » restant se situerait entièrement à l’est de l’Indus, à l’exception d’une pointe près de Karachi.

Les villes-États des Émirats Arabes Unis auraient un destin mitigé – ce qui, dans la réalité sera probablement le cas. Certaines pourraient être incorporées à l’État chiite arabe bordant une grande partie du golfe Persique (un État qui évoluera probablement comme un contrepoids, plus qu’un allié, de l’Iran persique). Puisque toutes les cultures puritaines sont hypocrites, Dubaï, par nécessité, serait autorisée à garder son statut pour riches débauchés. Le Koweït resterait dans ses frontières actuelles, tout comme Oman.

Dans chaque cas, ce redécoupage hypothétique des frontières reflète le communautarisme religieux ou ethnique, dans certains cas les deux. Bien entendu, si nous pouvions donner un coup de baguette magique et modifier les frontières en discussion, nous préférerions certainement le faire de façon sélective. Néanmoins, l’examen de la carte révisée, par contraste avec celle montrant les frontières actuelles donne une idée des grands torts que des frontières dessinées par les Français et les Anglais au XXe siècle ont pu faire dans une région qui peinait à émerger des humiliations et défaites du XIXe siècle.

Corriger les frontières pour refléter la volonté du peuple est peut-être impossible. Pour l’instant. Mais avec du temps, et l’inévitable bain de sang qui se produira, des frontières nouvelles et naturelles émergeront. Babylone est tombée plus d’une fois.

En attendant, nos hommes et nos femmes en uniforme continueront de se battre pour la protection contre le terrorisme, pour la perspective de la démocratie et pour l’accès à des sources de pétrole dans une région vouée à une lutte interne. Les divisions humaines actuelles et unions forcées entre Karachi, ajoutées aux malheurs auto-infligés de la région, forment un terrain aussi propice à l’extrémisme religieux, à une culture du reproche et au recrutement de terroristes que quiconque souhaiterait le concevoir. Partout où les hommes et les femmes regrettent leurs frontières, ils se cherchent avec enthousiasme des ennemis.

De la surproduction de terroristes dans le monde à la raréfaction des sources d’énergie, les déformations actuelles du Moyen-Orient promettent une aggravation de la situation, pas une amélioration. Dans une région où seuls les pires aspects du nationalisme ont jamais pris le contrôle et où les aspects les plus dégradés de la religion menacent de dominer une foi désabusée, les États-Unis, leurs alliés et, par-dessus tout, nos forces armées peuvent chercher des crises sans fin. Alors que l’Irak semble fournir un contre-exemple d’espoir – si nous ne quittons pas prématurément son sol – le reste de cette vaste région présente des problèmes qui empirent sur presque tous les fronts.

Si les frontières du grand Moyen-Orient ne peuvent être modifiées pour refléter les liens naturels du sang et de la foi, nous pouvons considérer comme un article de foi qu’une partie du sang versé dans la région sera le nôtre.

……………

QUI GAGNE, QUI PERD

Les gagnants

Afghanistan

Arménie

Azerbaïdjan

Baloutchistan libre

État arabe chiite

État islamique sacré

Iran

Jordanie

Kurdistan libre

Liban

Yémen

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Les perdants

Afghanistan

Arabie saoudite

Cisjordanie

Émirats Arabes Unis

Irak

Iran

Israël

Koweït

Pakistan

Qatar

Syrie

Turquie

Ralph Peters est l’auteur du nouveau livre “Never Quit the Fight”, à paraître le 4 juillet.

Source : Armed Forces Journal, le 01/06/2006

Traduit par les lecteurs du site http://www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.

Frontières de sang : Une proposition visant à redessiner un “Nouveau Moyen-Orient”
Source : Brilliant Maps, le 11/06/2015

La carte apporterait des changements de grande envergure à travers la région, tels que :

Israël : Retourne à ses frontières d’avant 1967.

La Turquie, la Syrie, l’Iran et l’Irak perdent tous du territoire pour créer un Kurdistan libre.

Le Kurdistan libre : Nouvel État créé pour les Kurdes.

Le Grand Liban : Renaissance de la Phénicie qui gagne aussi du territoire aux dépens de la Syrie.

La Grande Jordanie : Gagne du territoire aux dépens des Saoudiens.

L’Irak sunnite : Un des trois États successeurs de l’Irak, celui-là étant évidemment principalement sunnite.

L’État Arabe Chiite : Un autre successeur de l’Irak, hébergerait la population chiite actuelle de l’Irak tout en gagnant du territoire de l’Iran.

L’État Sacré Islamique : Un nouvel État qui agirait comme un Vatican musulman pris à l’Arabie saoudite.

L’Arabie saoudite : Perd du territoire au profit de la Jordanie, de l’État Arabe Chiite, du Yémen et de l’État Sacré Islamique.

Le Yémen : Prend des terres à l’Arabie saoudite.

Les Émirats Arabes Unis : Perdent des territoires au profit de l’État Arabe Chiite, même si Dubaï restera probablement un terrain de jeu indépendant pour les riches.

Le Koweït et Oman garderaient leurs frontières actuelles.

L’Azerbaïdjan : Gagne du territoire sur l’Iran.

L’Iran : Perd du terrain au profit du Kurdistan, de l’État Arabe Chiite, de l’Azerbaïdjan et du Baloutchistan libre, mais gagne du territoire sur l’Afghanistan. Le but est de rendre l’Iran encore plus persique.

Baloutchistan libre : Nouvel État destiné au peuple baloutche à découper à partir du Pakistan et de l’Iran.

Afghanistan : Perd du terrain au profit de l’Iran à l’ouest, mais gagne du terrain sur le Pakistan à l’est.

Pakistan : Perd du territoire au profit à la fois du Baloutchistan et de l’Afghanistan. Il se situerait dès lors presque entièrement à l’est de l’Indus.

Source :

https://www.les-crises.fr/2006-frontieres-de-sang-par-ralph-peters/

Vidéos en relation avec cet article:

Autre article sur le même sujet :

http://www.inexplique-endebat.com/2014/11/l-empire-invisible-le-nouvel-ordre-mondial.html

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Voici comment le Nouvel ordre mondial programme son assaut contre l’Islam
Screenshot_20180512-204924

guiseppi-mazzini.jpg?w=110&h=134En 1834, le révolutionnaire italien Guiseppi Mazzini fut choisi par les Illuminati, un Ordre très secret qui se trouve derrière la Révolution française et qui chapeaute toutes les Sociétés occultes importantes dont la Maçonnerie, pour être le Directeur de leur programme révolutionnaire mondial. Il demeura à ce poste jusqu’en 1872.

En 1840, le Général Pike fut attiré chez les Illuminati sous l’influence de Mazzini, à cause de son différent avec le Président Jefferson Davis. Pike accepta alors l’idée d’un Gouvernement Mondial et devint plus tard le Grand Prêtre de l’Eglise Luciférienne. Pendant sa présidence à cet Ordre, Mazzini correspondit avec lui. Pike se chargea des aspects théosophiques des opérations, Mazzini de ceux qui avaient trait à la politique. Lorsque les loges franc-maçonniques du Grand Orient furent discréditées à la suite des activités révolutionnaires de Mazzini en Europe, celui-ci présenta un plan génial à Pike.

Planification de Trois Guerres Mondiales
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albertpike2.jpg?w=205&h=245Cette « planification » fut connue grâce à une correspondance du 15 août 1871 entre les deux hommes. Cette lettre fut exposée une seule fois au British Museum Library de Londres. Heureusement, un officier de marine canadien et «chercheur anti-maçonnique», le commodore William Guy Carr put en prendre connaissance. Il se trouvait sur ces lieux en qualité de conseiller des Etats-Unis à la conférence de San Francisco du 26 juin 1945. Ce qu’il découvrit bouleversa sa vie. Du résumé qu’il fit, des notes qu’il releva, et des passages qu’il copia, un livre allait les reproduire en 1954, à une époque où il était humainement impossible de prévoir ce à quoi nous assistons progressivement : Pawns in the Game (chap.1, pp. 15 et 16). [LIESI propose cet ouvrage en français au prix de 20 € franco de port.]

« … La Première Guerre mondiale devait être livrée afin de permettre aux Illuminés de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du Communisme athée. Les divergences suscitées par les agents des Illuminés entre l’Empire britannique et l’Empire allemand furent utilisées pour fomenter cette guerre. A la fin de cette guerre, le Communisme devait être édifié et utilisé pour détruire les autres gouvernements et pour affaiblir les religions ».

« La Seconde Guerre mondiale devait être fomentée en profitant des divergences entre les Fascistes et les Sionistes politiques. Cette guerre devait être menée de telle sorte que le Nazisme soit détruit et que le Sionisme politique soit assez fort pour instaurer l’état souverain d’Israël en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Internationale Communiste devait devenir assez forte pour équilibrer la Chrétienté. Elle devait alors être contenue et tenue en échec jusqu’au moment où l’on aurait recours à elle pour le cataclysme social final ».
Screenshot_20180512-205228
11septembre0.jpg?w=265&h=190« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par les agents des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du monde islamique. La guerre devra être orientée de telle manière que l’Islam (le monde arabe et le monde musulman) et le Sionisme politique (incluant l’Etat d’Israël) se détruisent réciproquement, tandis que les autres nations, une fois de plus divisées et opposées entre elles sur cette affaire, seront en cette circonstance contraintes de se combattre jusqu’à leur complet épuisement physique, moral, spirituel et économique ».

L’objectif recherché derrière la mise en œuvre de Trois Guerres Mondiales
gvtmondial0.jpg?w=240&h=164Voici ce qu’écrivait Jean Lombard, historien chartiste, en 1984 : « Si l’on permet le déclenchement de la Troisième Guerre mondiale, la dévastation sera si considérable que les Internationalistes en arriveront à prétendre que seul un Gouvernement Mondial soutenu par une force de police internationale permettra de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux, rendant impossible de nouvelles guerres. Cet argument paraîtra logique à de nombreuses personnes… » (J. Lombard, La face cachée de l’histoire moderne, p. 553) Oui, tout le plan vise cet unique objectif : imposer un Nouvel Ordre Mondial avec sa Religion Universelle… le culte de Lucifer ! Le 14 juillet 1889, Albert Pike déclarait par exemple aux 23 Suprêmes Conseils du monde (les chefs de la Franc-Maçonnerie universelle) : « La véritable et pure religion philosophique est la croyance en Lucifer ». (“The Freemason” du 19/1/1935)

Ce n’est pas tout du Plan poursuivi depuis 1871, sans résistance apparente. Le 15 août 1871, Albert Pike confia à Mazzini qu’une fois les Trois Guerres mondiales réalisées, ceux qui aspirent à mettre sur pied une « Domination Mondiale Incontestée » -un Gouvernement Mondial Planétaire- provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde n’ait jamais connu.

« Nous allons lâcher, libérer les nihilistes et les athéistes et, nous allons provoquer un formidable cataclysme social final qui, dans toutes ses horreurs, démontrera aux nations, l’effet d’un athéisme absolu, (…) Par la suite, la multitude, désillusionnée avec la Chrétienté (…) sans pourtant savoir à qui exprimer son adoration, recevra alors la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer ». Et pour provoquer des guerres civiles européennes, il est plus facile d’attaquer dix pays ayant une même monnaie que s’en prendre à chacun d’eux, si par exemple, l’arme monétaire est l’instrument de déstabilisation choisi… ce qui sera le cas. [Nous érivions ces lignes en décembre 2001. La guerre des monnaies actuelle confirme bien cela et les mesures drastiques qu’impose le cartel bancaire aux Etats endettés à SON propre système d’usure créent les conditions idéales pour un « cataclysme social ». Nous rappelons également à notre lecteur de bien relire ce passage qu’il faut en fait connaître par coeur, extrait dudiscours de Lénine prononcé en 1919 à Bakou.

Pour l’instant : Halloween, Harry Potter, sont des tentatives malheureusement réussies de l’introduction d’un rituel diabolique dans les familles au moment où le Plan arrive à son terme. Ceci confirme s’il en était besoin, ce que chacun peut craindre.

associesdiable3.jpg?w=200&h=300Albert Pike et Mazzini étaient-ils les « architectes » de ce Plan ?
Telle est bien la question à laquelle doit aboutir tout chercheur honnête. Albert Pike et Mazzini étaient-ils le « grand architecte » du Plan prévoyant les trois conflits universels qu’ils annoncent ? S’agissant, par exemple, du troisième conflit mondial, Albert Pike évoquait une guerre « entre les Sionistes politiques et les dirigeants du Monde Islamique ». Que se passe-t-il aujourd’hui ? Un homme pouvait-il prévoir cela ? Non. Qui inspirait alors Albert Pike ? Diana Vaughan, grande prêtresse luciférienne convertie répond : Lucifer ! Avant d’être assassinée, elle écrira dans ses Mémoires : « On sait que Lucifer est réputé apparaître au Sanctum Regnum chaque vendredi, à trois heures. Là, selon ce qui est rapporté et qui est admis comme véridique dans les Triangles, il parle et donne ses instructions aux premiers chefs même s’ils ne sont pas au complet ».

L’enseignement de l’Histoire sur les actes déclencheurs de Guerre Mondiale

Voici ce que l’on pouvait lire dans un numéro de la Revue Internationale des Sociétés Secrètes (R.I.S.S.) :« Ce ne sont pas, en effet, les vieilles barbes engoncées dans les oripeaux, et les ventres alourdis par de trop fréquentes agapes qui descendent dans la rue quand il s’agit de réaliser les beaux projets mûris à la douce chaleur des ateliers. Des jeunes sont là qui ne demandent qu’à « marcher »… ; on les encourage, on les excite à l’occasion, et si par aventure, les coups préparés échouent ; on renie les héros malheureux, et on les abandonne. C’est là toute l’histoire de la Franc-Maçonnerie, et les carbonari ne furent que les agents d’exécution de cette secte. » (p. 277, 1937)
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attentat-du-28-juin-1914.jpg?w=185&h=272Chacun se souviendra de l’attentat du 28 juin 1914. Comme pour l’attentat du 11 septembre 2001, certaines personnes avaient signalé qu’une conspiration était en cours pour déclencher la Première Guerre mondiale. « Le 15 septembre 1912, la Revue Internationale des Sociétés Secrètes contenait les lignes suivantes (p. 788) : « Peut-être s’expliquera-t-on un jour le propos tenu par un haut maçon, en Suisse, à l’égard de l’Archiduc héritier : « Il est bien. C’est dommage qu’il soit condamné. Il mourra sur les marches du trône »». (1931, p. 690.) Cet avertissement avait été communiqué à Mme la duchesse de Hohenberg en personne. Cela se passait au mois de septembre 1912 !

Puis il y eut les résultats du procès de Salonique. Selon les sténogrammes du procès des conjurés de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand du 28 juin 1914 : « Derrière Princip se trouvait une organisation révolutionnaire, quelqu’un de plus fort, car par eux-mêmes, ils n’auraient pu acheter ces bombes ». « J’ai vu qu’il y avait derrière lui de puissantes influences ». L’acte déclencheur de la guerre était bien le fait de cercles occultes qui n’ont pas changé.

Qu’en fut-il de la Seconde Guerre mondiale ? Quelques mois après la fin de la Première Guerre mondiale un certain caporal Adolf Hitler arrive dans l’arrière-salle d’une taverne munichoise, où sont réunis les créateurs d’un parti politique : le Parti ouvrier allemand. Peu d’années après, ces mêmes conspirateurs attachés à la Thulé Gesel-lschaft, prendront le pouvoir, après avoir initié le petit caporal aux cultes de la terre et du sang.

Mais les nazis n’ont rien inventé ; il existait en Bavière une tradition de société secrète partie de presque rien et qui, un jour, a commencé à tirer les ficelles de la réalité politique. Ainsi les Illuminés de Bavière, apparus à la fin du XVIII° siècle joueront-ils un grand rôle dans les révolutions jusqu’au milieu du XIX° siècle, où ils entreront dans une mystérieuse clandestinité. On ne parlera plus de cette secte jusqu’à la guerre de 1914, lorsque, préfigurant le nazisme, se créeront, en Allemagne du Sud, une multitude de mini-sociétés secrètes… La boîte de Pandore était ouverte sur 1939-1945 ! et sur le 11 septembre 2001.

L’attentat du 11 septembre 2001 est-il l’acte déclencheur de la Troisième Guerre mondiale ?
11septembre1.jpg?w=201&h=251« La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par les agents des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du monde islamique. La guerre devra être orientée de telle manière que l’Islam (le monde arabe et le monde musulman) et le Sionisme politique (incluant l’Etat d’Israël) se détruisent réciproquement, tandis que les autres nations, une fois de plus divisées et opposées entre elles sur cette affaire, seront en cette circonstance contraintes de se combattre jusqu’à leur complet épuisement physique, moral, spirituel et économique».

Depuis cet attentat du 11 septembre 2001, cette partie de la « prophétie » : « les autres nations, une fois de plus divisées et opposées entre elles sur cette affaire, seront en cette circonstance contraintes de se combattre… » n’est-elle pas en train de s’accomplir ?

Cet attentat semble en fait apparaître comme la concrétisation d’une préparation patiente et méticuleuse de
la part des élites silencieuses qui manipulent notre monde. N’est-ce pas l’aboutissement d’un Plan de longue date ; celui du 15 août 1871 ? Plan qui, à chaque fois, a besoin de créer un événement déclencheur et de
désigner les indispensables bouc émissaires frappés par l’indignation des honnêtes gens, de telle manière que « la branche frappée » empêche quiconque de remonter « jusqu’à la racine maîtresse, cachée dans les
ténèbres les plus épaisses ».

Oussama Ben Laden a bon dos !
Screenshot_20180512-205250
lenine-benladen.jpg?w=238&h=102Le journal Guardian du 10 octobre 2001 affirmait : « Ben Laden est sous surveillance depuis des années : chacun de ses coups de téléphone a été contrôlé et Al-Qaida a été infiltrée par le renseignement américain, le renseignement pakistanais, le renseignement saoudien, le renseignement égyptien. Ils n’auraient pas pu garder secrète une opération qui nécessitait un tel degré d’organisation et de sophistication ». Alors la thèse de la culpabilité de Ben Laden ne tient pas. Encore une fois, les pistes sont brouillées pour ne pas s’orienter vers les grands joueurs de triangle qui mènent le troupeau de la presse officieuse en donnant le coup d’archet.

Le 24 octobre 2001, le Neue Zuercher Zeitung affirmait : « Selon les services secrets égyptiens et français, Ben Laden (…) a amené quelques 500 moudjahidins arabes à Tirana. Ils auraient combattu coude à coude avec l’UCK du Kosovo et auraient été impliqués dans les actes de vengeance les plus brutaux contre des civils serbes ».

L’organe européen de l’EIR (Executive Intel-ligence Review), Alert Strategic commentait ainsi cette information : « Ces Afghans étaient dirigés par un frère du commandant du groupe terroriste égyptien Jihad, le Dr Ayman Al-Zawahiri, qui est le numéro 2 de l’organisation d’Oussama Ben Laden. Le frère de Zawahiri est également un dirigeant du groupe égyptien Jihad et d’Al-Qaida. Certains des combattants afghans dirigés par Zawahiri comptaient parmi les combattants de l’UCK sauvés il y a quelques mois par les Forces spéciales des Etats-Unis, alors qu’ils étaient sur le point d’être faits prisonniers par l’armée macédonienne à Aracinovo, près de Skopje. Il est très révélateur que les combattants afghans de Zawahiri et les combattants de l’UCK étaient accompagnés de « conseillers militaires » américains ! Ces « conseillers » militaires appartenaient à la société « privée » Military Professional Resources Inc. (MPRI) qui a son siège en Virginie. Les employés du MPRI sont des « anciens » des opérations spéciales militaires et du renseignement. Nos sources en Macédoine ont confirmé l’information publiée au départ par les agences Novosti, Itar-Tass et le quotidien macédonien Dnevnik, selon laquelle il existe toujours au Kosovo un camp d’entraînement dirigé par un proche associé de Ben Laden. Ce camp est situé… en secteur américain » (numéro 44) Chacun pourra conclure comme il convient.

La guerre des Balkans et Ben Laden au service des Américains
Screenshot_20180512-205306
guerre-yougoslavie.jpg?w=232&h=217Dans une brochure intitulée Guerre en Yougoslavie et Europe chrétienne (Courrier de Rome, 1999), Paolo Taufer a écrit :« …la politique de l’Administration (américaine) au Kosovo est d’aider Ben Laden, par l’intermédiaire de l’UCK, à propager son rayon d’action en Europe ». (p. 20) Ceci doit nous conduire à l’étape qui suivra celle de la Troisième Guerre mondiale : la Guerre Civile européenne !

L’économiste américain Martin Feldstein, dans un article qu’il a écrit pour la revue Foreign Affairs de novembre-décembre 1997, exprime ses doutes sur les liens entre l’Europe et la paix. Il va jusqu’à dire que la monnaie unique pourrait déclencher une guerre civile européenne comme ce fut le cas en Amérique dans la seconde moitié du XIXème siècle. A la question : « Donc, Professeur Feldstein, ce sera la guerre ? », l’économiste répond : « Oui, c’est bien possible. […] Je suis convaincu que le danger d’une guerre civile augmente, au lieu de diminuer, avec l’introduction de la monnaie unique ».

Nous reviendrons sur ce sujet dans une prochaine lettre, mais il fallait montrer la perversité du « jeu » engagé par certains groupes puissants aux Etats-Unis. Ces informations confirment l’énorme mensonge du 11 septembre 2001. Que disait l’initié F.D. Roosevelt ? « En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi ». Et encore : « Le monde se divise en trois catégories de gens : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe plus important qui veille à leur exécution, et un autre qui les regarde s’accomplir »(Nicholas Murray Butler Président de la Pilgrine Society, membre de la Carnegie, membre du CFR –Council on Foreign Relations).

Source :

http://www.wikistrike.com/article-les-etapes-programmees-du-nouvel-ordre-mondial-78202487.html

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Publié par ahmedmiloud

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